Symboles Reiki

Non mais c'est intéressant de voir que le reiki ne fait pas qu'endormir la consience !!!

Je dis ça parce que j'en ai vu beaucoup avec le teint pâle quoi !

En fait , en dehors des faibles souvenirs que m'avaient fait quelques maitres reiki rencontrés ça et là, l'idée perverse de départ était de bousiller l'argumentaire reiki, de montrer en quoi il est une série de contradictions.

Moi qu'il y ait du vrai là-dedans n'est pas pour me déplaire, bien au contraire.

Intellectuellement, je suis juste un peu insatisfait par le dépliant, et je n'apprécie que moyennement l'abandon intellectuel auquel il oblige. c'est clair, mais justement, ce que j'apprécie c'est tout ce qui se dit ici et qui a tendance, en tout cas, c'est mon sentiment, à démontrer qu(il n'y a pas réellement de distinction, qu'on parle bien de la même chose et que le dépliant reiki n'est qu'un truc de marketing !

Suite à la question de Remlug : Est ce que les formateurs ont de l'humour ? Je pensais répondre que, heureusement : Oui ! Cela arrive, et qu'on rigolait bien en stage... Et puis, il y a eu le post de Kodama... Je vais être un peu directe mais je me demande où est passé le Reiki dans tes propos ?... Le Reiki véhicule les notions de tolérance, de détachement, de compassion et ... d'humour... Il ne s'agit pas de savoir écrit dans un livre, mais d'état d'être. Et cet état ne se limite pas à une tradition ou une lignée. Il est UNIVERSEL. Le Reiki en est simplement un vecteur parmi tant d'autres.
Et pour revenir à l'humour, il est un ingrédient essentiel à toute méthode de mieux-être. Sans humour, on devient figé dans son savoir, tout devient grave, rigide et privé d'énergie de Vie. Sans oublié que le rire est un thérapeute à lui tout seul !

Citation :

En fait , en dehors des faibles souvenirs que m'avaient fait quelques maitres reiki rencontrés ça et là, l'idée perverse de départ était de bousiller l'argumentaire reiki, de montrer en quoi il est une série de contradictions.

Ben, en fait, j'en suis arrivée à me dire que, peut être, je devrais faire comme Remlug et créer ma propre méthode... Je suis enseignante Reiki, mais quand je vois ce qui est véhiculé parfois autour du Reiki, cela me laisse perplexe. Entre le dogmatisme néo-japonnais pronant une discipline et une rigueur qui n'ont pas de sens ici (en France) et le délirium multi-dimensionnel nous promettant monts et merveilles, le Reiki occidental perd sa fonction intitiale : celle de nous permettre d'aller mieux. Je me demande d'ailleurs comment s'en porte l'égrégore Reiki...

Allez, hop ! Le soleil brille ! Il est temps d'aller faire un tour dans le jardin...

Loan a écrit:

Ben, en fait, j'en suis arrivée à me dire que, peut être, je devrais faire comme Remlug et créer ma propre méthode... Je suis enseignante Reiki, mais quand je vois ce qui est véhiculé parfois autour du Reiki, cela me laisse perplexe. Entre le dogmatisme néo-japonnais pronant une discipline et une rigueur qui n'ont pas de sens ici (en France) et le délirium multi-dimensionnel nous promettant monts et merveilles, le Reiki occidental perd sa fonction intitiale : celle de nous permettre d'aller mieux. Je me demande d'ailleurs comment s'en porte l'égrégore Reiki...

C'est le même raisonnement qui m'a poussé à me lancer... et un bon paquet de coups de santiags des copains...
Cela a des avantages : on se libère de codes contraignants, de formes de pensées agglomérées et empilées les unes sur les autres. C'est comme le code pénal : on ajoute des critères et des règles les unes sur les autres.
Le fait de repartir de la base permet d'épurer et de simplifier.
L'inconvénient, c'est qu'il faut bien concevoir le principe et les bases du fonctionnement. Le "comment ca marche" (d'où ma première question).
C'est aussi prendre une grave responsabilité : si l'on guide les gens vers une technique dont on n'est pas sûr, que l'on ne maîtrise pas, on risque de faire des erreurs effroyables.
D'où ma deuxième question sur l'humour : un formateur qui rigole, dans le pire des cas est un inconscient parce qu'il se fiche de ce qu'il transmet mais apprécie d'être le point de mire de ses étudiants.
Dans le meilleur des cas, il peut se permettre de l'humour parce qu'il s'appuie sur du solide, et que même face à des questions nouvelles, il peut décrire le process et en tirer un plan d'action. (Sans parler de sa capacité à transmettre ce raisonnement).

Je suis tout à fait d'accord avec le principe de dire que nous n'avons pas besoin de savoir ce qui se passe, comment et pourquoi. Mais j'ai la fâcheuse (?) tendance à bien aimer que mon conscient bosse avec mon inconscient. Donc quand on me dit pourquoi il se passe ceci quand je fais cela, j'ai au moins l'impression d'être plus efficace. Et surtout, je ne suis pas pris à l'improviste lorsque je rencontre un cas non prévu dans la doc...

Un autre inconvénient apparent de créer son propre cursus, est que l'on se dispense de la facilité donnée par l'égrégore de l'enseignement de base. C'est un faux problème. Chaque étudiant est prêt à se connecter à l'égrégore qu'il connait le mieux ! Et, même dans des cours très cadrés, ce n'est pas forcément celui auquel pense le formateur
Et c'est tant mieux !

Bref, ne créez pas votre propre méthode parce que ca vous libère d'un service marketing trop contraignant, mais parce que l'Energie bouge ! Qu'elle suive les fluctuations des rayonnements solaire ou l'accroissement de la prise de conscience humaine, elle a des hauts et des bas. Ce sont ces variations qu'il faut suivre et non les dogmes d'un enseignement figé.
Un jour vos propres étudiants sortirons de vos ornières pour inventer quelque chose d'autre. Et ca vous fera drôle !
Je sais, j'ai testé

Et c'est logique : les bases sont toujours les mêmes, mais les moyens pour s'en servir changent. Mes cours évoluent d'abord parce que je me refuse à rester figé dans un processus mental de transmission pur et dur, mais surtout parce que justement, je ne sais pas tout et je l'accepte : vos interventions sur ce forum et les retours de mes stagiaires y sont pour beaucoup.

En résumé : lâchez vous ! Ca vous obligera à vous poser des questions, et vous n'en serez que plus efficaces. Et vous collerez de plus près à la réalité...

Et si vous voulez un coup de main pour dépatouiller tout ca, n'hésitez pas...

Yesss, je viens d'inventer un nouveau métier : Coach de formateur énergéticien. Cooool.

Au sujet du reiki, cela serait-il possible pour les administrateurs du forum d'ouvrir une rubrique sur le REIKI , moi aussi je suis initié, et je ne vais plus sur les forum spécialisés , car j'ai l'impression d'être sur une autre planète, alors qu'ici je suis à mon aise, personne ne se prend pour Dieu le père ou le fils . et comme cela je pense pouvoir progresser, car je suis 2em degré et je rame! Voilà ma proposition après la venue du saint -Esprit !

jacques29 a écrit:

Au sujet du reiki, cela serait-il possible pour les administrateurs du forum d'ouvrir une rubrique sur le REIKI

Z'etes grands les gars ! Z'avez pas besoin de la permission du chef

Tu peux ouvrir ce sujet dans la catégorie
SANTE
Soins énergétiques, chakras

Bonjour,

Merci Kodama de t'être penché sur Ilahinoor, dont j'apprecie précisément la simplicité.

Les chemins de connexion sont nombreux, et c'est a priori les effets d'une pratique qui m'interessent d'avantage que les discours, encore que le but ne sanctifie pas tous les moyens, nous sommes d'accord.

Des choix s'opèrent tous les jours, éloignant chaque route de celle de nos convives, la specifiant, la précisant peut-être.
Il se peut alors qu'évaluer et juger se confondent parfois.

Je tente pour ma part d'employer d'avantage le coeur que l'intellect comme filtre pour m'orienter. Non sans difficulté parfois, bien que j'ai de bonnes dispositions naturelles en matière de simplicité d'esprit que je compte cultiver encore.

Je prépare d'ailleurs une attaque frontale aux celulles grises le WE prochain

remlug a écrit:

Yesss, je viens d'inventer un nouveau métier : Coach de formateur énergéticien. Cooool.

D'accord, mais c'est quoi ta méthode ?
Arf !!!

Yesss, je viens d'inventer un nouveau métier : Coach de formateur énergéticien. Cooool.


CHICHE

Rup a écrit:

remlug a écrit:

Yesss, je viens d'inventer un nouveau métier : Coach de formateur énergéticien. Cooool.

D'accord, mais c'est quoi ta méthode ?
Arf !!!

Ben celle d'un coach :
rien dans les poches, sauf le portefeuille, et un gros fauteuil bien rembourré. C'est pas moi qui bosse, c'est le coaché !...

Citation :

Yesss, je viens d'inventer un nouveau métier : Coach de formateur énergéticien. Cooool.

Oui, et il est déjà en vogue !
Yann bosse pour moi à temps plein... Le pauvre ! Il est surbooké ! Mais bon, c'est vital... Rien ne vaut un regard extérieur pour se remettre en question et avancer. Sans compter son soutien...

Je reviens rapidement sur l'humour car il fait partie intégrante de ma manière d'enseigner. Ce n'est ni de l'inconscience ni pour faire le clown... L'humour permet de faire lâcher les conditionnements, les peurs, les souffrances et de porter un autre regard sur soi et sur sa vie. A chaque stage, des élèves pleurent... Avec l'humour, les larmes se transforment peu à peu en rires, leur visage s'ouvre et ils prennent conscience qu'une autre réalité est possible.

Sinon, vendredi, je me suis pour la première fois lancée hors des sentiers connus. J'ai proposé un atelier "sons et reprogrammation cellulaire" avec bols chantant de cristal etc... Ce sont mes guides qui m'y ont poussé. Et bien, je peux vous dire que ça n'a pas été de la tarte. L'atelier s'est bien passé en lui-même (enfin... je crois). Mais que de questionnements dans ma tête ! Est ce que c'est juste ? Est ce que ça va servir à quelque chose ? Le rythme est il adapté ? Comment l'atelier va t il être vécu ? Et j'en passe... Et puis à cela s'est ajouté du stress, l'impression de ne pas être à la hauteur, de faire les choses de travers... Aïe aïe aïe... Lâcher le bord de la piscine pour aller nager là où on n'a pas pied, quel challenge ! Mais, ça y est ! C'est fait... Et je ne me suis pas noyée ! Ouf !
Oui, l'Energie bouge ... et nous oblige à bouger nous aussi. Ca remue pas mal...

bianca cappelli a écrit:

Merci Kodama de t'être penché sur Ilahinoor, dont j'apprecie précisément la simplicité.

Je suis ouvert à toute nouveauté qui pourrais m'éclairer. Tu as raison, dans tous les cas, suit ton coeur !
Je trouve d'ailleurs que sur le fond, cette méthode rejoins le fonctionnement du reiki... et je lui trouve une douce vibration... c'est juste la forme je que trouve personnellement compliquée et avec trop de présence du thérapeute. Cela dit, lorsqu'on joue le rôle de thérapeute, ce n'est pas sans avoir de sens... alors finalement, cette méthode n'est pas si mal que ça !
En fait, je n'utilise plus de forme extérieure... je ne soigne plus jamais avec mes mains, tout comme je n'initie plus avec mes mains ! J'ai eu du mal à m'y faire, mais ça fonctionne très bien. Et à distance également, n'en déplaise à ceux que ça choque. Pourquoi ? Parce que ce n'est jamais nous qui travaillons, mais le patient, l'initiable... (cela dit, certain on besoin de concret).

Citation :

Il se peut alors qu'évaluer et juger se confondent parfois.

Je n'ai aucune autre prétention que de juger à chaque instant de ma vie ! Je juge, je juge et je juge... et je fais mes choix. C'est ainsi que l'on fonctionne horizontalement afin de retrouver le point zéro, la voie du milieu, la voie du coeur... selon mon avis perso, bien sûr ! Pour moi, le non jugement n'intervient que dans la reconnaissance pour chacun de faire ses propres choix. Mais je juge ces choix en ce qu'ils se confronte à moi-même.

Je suis d'accord, être initié jusqu'à la maîtrise Usui n'apporte pas soudainement un éveil spirituel ou je ne sais quoi de merveilleux, mais selon moi une ouverture pouvant mener à ce merveilleux. Il faut reconnaître que tout maîtres Usui n'a pas forcemment intégré la globalité de ce que représente le reiki. Je prends pour exemple l'invention du reiki karuna / de la compassion. Beaucoup en retire un grand bien (et un grand trou dans le larfeuille). Et bien permettez moi de vous dire qu'en reiki Usui, la compassion est déjà présente et bien présente ! Voyez vous ce que je veux dire ?
Bon, et les choses changent. Je suivi la démarche shamballa, ressentant que ça m'apporterais quelque chose de plus ; et bien j'ai fait cette démarche avec beaucoup de doute. Lorsque je lisais que Shamballa donnez accès à 352 symboles... je peux vous dire que je trouvais cela débile ! Cependant, aujourd'hui, avec le travaille que j'ai effectué, les expérience traversées... je peux dire que le reiki shamballa apporte énormément sur la voix spirituelle... et aide à dépasser le reiki Usui ; mais encore faut-il travailler sur soi ! Ce n'est qu'un outil pour rassurer dans notre démarche. Aujourd'hui, ces 352 symboles, ce ne sont pour moi pas des symboles comme ceux que l'on apprend dans le cahier de cours !!! C'est plus à comprendre comme les 72 souffles de la kabballe, les 12 signes du zodiaque... un certain type d'énergies qui constituent notre être. Mais là encore, l'on peut rester simple thérapeute et ne jamais voir ce qui se déroule lors d'un soin !
En fait, pour percevoir ce qu'est le vraiment le reiki, je pense qu'il faut trouver la petite ficelle qui relie à la véritable source. Le reiki Usui n'est pas vraiment ce que Usui à redonné, mais une nouvelle forme transmise par Takata, ceci expliquant cela ! Et ce qu'a transmis Usui était déjà sa compréhension d'autre chose...

Bref, je n'irais pas plus loin, car je me refuse à commenter les symboles sur un forum, mais ce qu'il faut retenir de mon soliloque, c'est que personnellement, je trouve que le reiki est une voie fantastique qui peut ouvrir sur un monde merveilleux ! A chacun de se faire sa propre opinion !

En attendant... ... et je pars 3 jours au soleil !

Loan a écrit:

Ce sont mes guides qui m'y ont poussé (...) et nous oblige à bouger nous aussi.

C'est le sens de toutes ces démarches... nous connaître nous même, car tout ce que l'on fait, on le fait pour soi-même et pour personne d'autre ! Les autres ne sont que le miroir de notre travail de retour à notre conscience Divine !

Kodama a écrit:

Loan a écrit:

Ce sont mes guides qui m'y ont poussé (...) et nous oblige à bouger nous aussi.

C'est le sens de toutes ces démarches... nous connaître nous même, car tout ce que l'on fait, on le fait pour soi-même et pour personne d'autre ! Les autres ne sont que le miroir de notre travail de retour à notre conscience Divine !

Je trouve celà, mais ce n'est que le point de vue d'un ignare en la matière, bien égoïste. On ne travaillerait que pour soi et autrui ne serait qu'un faire valoir ?

La meilleure façon d'aider les autres est de travailler sur soi-même.
Je vois que ceux qui pratiquent le reiki sont d'accord pour dire que c'est quand même une voie royale pour le développement personnel! Il y en a bien d'autres, je crois que le nom diffère mais que le processus reste + ou - le meme! Mais c'est comme dans tout : on en retire ce qu'on y met.
Je n'avais pas pensé à l'égrégore reiki, car en faisant un soin je me branche sur l'énergie divine, quel égrégore est-ce donc? En tous cas vu les résultats il est top. Les égrégores sont des constructions mentales, qu'on peut dépasser et c'est certainement en cela qu'on peut transcender une méthode. La + grande difficulté est de rester simple!

Et tiré de : Le Bulletin pour les amis de La Voie Directe

De:"claude.lavoiedirecte@free.fr" <claude.lavoiedirecte@free.fr>
Ajouter l'expéditeur dans les contacts
À:
"claude.lavoiedirecte@free.fr" <claude.lavoiedirecte@free.fr>


Claude n'émet qu’un point de vue


Je le répète encore une fois, ceci n’est que le point de vue de Claude, et celui-ci n’a pas la prétention de détenir la vérité.
Si tout ce que j’écris n’est pas réel pour vous, gardez votre intégrité et ne l’acceptez pas.

Mais soyons quand même vigilants avec l’au-delà. Il pourrait y avoir des bas-fonds avec des êtres qui prétendent être des anges, mais qui ne seraient que des vampires. Ils ne viennent pas pour sucer notre sang, mais sucer quelque chose de beaucoup plus important, nos unités de conscience. Quand un être humain n’a plus assez d’unité de conscience, il devient esclave et sous la dépendance de son maître.

Un être ou un groupe d’êtres malfaisants peut s’emparer d’une personne sans que celle-ci le conscientise. Cette personne pourrait emmener avec elle son “squatter” jusque dans la mort (s’il est localisé dans son esprit, c’est facile !) et les éventuelles réincarnations. Cet “alien” obtiendrait une rente d’unités de vie pour presque l'éternité. Et pour celui qui subit, un esclavage presque éternel.

À ma connaissance, aucun maître sérieux, comme Krishnamurti, Nisargadatta, Ramana Maharshi... ne conseille de s’occuper de l’au-delà. Et dans le zen, le maître dit “va couper le bois” !

Et si vous souhaitez vous occuper des habitants de votre esprit ou de ceux du “Grand Esprit”, prenez conscience que ces êtres ont besoin d’aide, autant que vous et parfois même un peu plus.

Leur libération pourrait être le chemin de notre propre libération !
Que pouvez-vous faire pour les aider ?

Et si vous êtes aidé par des consciences dites “supérieures”, alors profitez-en et rendez grâce.

Bebel a écrit:

Kodama a écrit:

Loan a écrit:

Ce sont mes guides qui m'y ont poussé (...) et nous oblige à bouger nous aussi.

C'est le sens de toutes ces démarches... nous connaître nous même, car tout ce que l'on fait, on le fait pour soi-même et pour personne d'autre ! Les autres ne sont que le miroir de notre travail de retour à notre conscience Divine !

Je trouve celà, mais ce n'est que le point de vue d'un ignare en la matière, bien égoïste. On ne travaillerait que pour soi et autrui ne serait qu'un faire valoir ?

D'un ignare, non, Bébel ! De quelqu'un dont la conscience christique à déjà touché le coeur, oui. Je dis que nous faisons tout pour nous même, car c'est toujours un désir intérieur qui nous pousse, que ce soit un vil désir égoïste comme un désir divinement inspiré.

Toi, tu comprends que "ce que tu fais aux autres, tu le fais à toi-même". Tu comprends que ne pas aider les autres, c'est nier que nous sommes tous reliés. Mais il faut se départir de la culpabilité chrétienne qui veut que parce qu'un certain Jésus se serait sacrifié pour nous, viles âmes bien sales que nous sommes, nous devrions nous sacrifier pour les autres et nier nos propres désirs ! Non, ce que je dis, c'est que c'est en répondant à nos désirs les plus intimes que nous devenons le meilleur outil qui soit pour servir le Divin (et il est vrai que nous finissons toujours par aider les autres).
En fait, ce que je dis, c'est qu'il faut comprendre que l'égo, défini comme petit moi séparé du tout, est une projection de l'Ego, défini comme individualisation de Dieu, que nos désirs égoïste sont l'image troublée de nos désirs Divins, et que c'est en s'évertuant à satisfaire nos désirs que nous apprenons à comprendre le monde et les effets de notre inconscience.

C'est sûr, c'est difficile à accepter, mais ce n'est qu'en faisant le mal que nous comprenons que nos actions peuvent être corrompues.
De même, en soignant les gens, nous comprenons comment les choses fonctionnent et nous faisons les changements en nous. Par exemple, en rééquilibrant les gens... au bout de x fois, ont fini par se demander s'il n'y a pas une vérité supérieur qui pourrait faire que ces déséquilibres peuvent ne plus exister... etc, etc...

Bref, je ne sais pas si j'ai été clair, mais oui, nous agissons toujours par rapport à nous même, dans le fond, pas forcement dans la forme.

Bref, je ne sais pas si j'ai été clair, mais oui, nous agissons toujours par rapport à nous même, dans le fond, pas forcement dans la forme.

Cette phrase résume tout.

Merci Kodama et ton indulgence pour avoir été un peu provocateur.

Kodama a écrit:

Bref, je ne sais pas si j'ai été clair, mais oui, nous agissons toujours par rapport à nous même, dans le fond, pas forcement dans la forme.

Je crois qu'on dépasse ici le strict cadre ésotérique, et l'idée bien qu'intéressante, est difficile à comprendre parce que sans doute difficile à admettre, surtout pour nous autres occidentaux, habitués à vivre selon une morale axée sur l'autre (ALTER), et pas seulement sur l'individu (égo).

Il suffit de voir comment la foule réagit quand un patron augmente son salaire, même pour de bonnes raisons, pour s'en convaincre. Le beau geste consisterait d'abord à penser aux salaires du grand nombre avant de penser à soi. Du moins, peut on le comprendre de cette façon.

Je reviens à ce que tu dis. Il est vrai que lorsqu'on nous vivons notre existence en fonction de nos désirs et aspirations, nous sommes plus fréquemment opposés aux désirs et besoins des autres. S'ensuit parfois des frictions, des ajustements, ou des alliances qui nous obligent à évoluer

Cette évolution est temporaire ou plus permanente.

De ce point de vue, oui, je le dis. Faire des erreurs et revendiquer ce droit à l'erreur (je préfère cela au mot mal) est une source d'évolution car nous exprimons notre liberté personnelle, que cette liberté est immédiatement sanctionnée par une sorte de justice mécanique

En fait de compte, de gré ou de force, nous comprenons l'intérêt du bien.

Et, je pense que comprendre est bien meilleur qu'obéir à une morale, une tradition, quelle qu'elle soit, sans en comprendre le sens profond.

Je te rejoins donc sur ce point : quand nous agissons pour nous mêmes, nous nous plaçons dans une situation où nous pouvons nous bonifier.

J'émets cependant une réserve sur ta position.

Si tout le monde suivait ses aspirations, nous nous retrouverions dans un monde libertaire (anarchiste) et bien que je reconnaisse un intérêt à cette doctrine, je ne peux pas admettre le foutoir que ça creérait.

Suivre son égo sous prétexte que c'est une manifestation brumeuse de l'EGO divin, c'est quand même laisser au hasard le soin de guider notre vie et c'est un des plus surs moyens de se perdre, non..

Alors, même si je sais que le hasard nous surprend parfois, je crois que nous devons avoir un cadre de vie moins marquée par l'égo, mais plus par l'ALTER, du moins tant que c'est nécessaire...

Citation :

Bref, je ne sais pas si j'ai été clair, mais oui, nous agissons toujours par rapport à nous même, dans le fond, pas forcement dans la forme.

D'après ce que j'ai pu observer, ce n'est pas applicable pour tout le monde. Cela demande une conscience de soi, de sa place dans le monde et de son évolution. La plupart des gens ne fonctionnent pas ainsi. Ils sont prisonniers de leurs conditionnements et réagissent selon les préceptes "devoirs et obligations" plutôt que d'agir selon leurs désirs. Et si l'égo est si important de nos jours, c'est certainement parce qu'il a été nié pendant trop longtemps. L'absence de reconnaissance que ce soit au sein de la famille, du couple ou au niveau professionnel crée une forme d'obsession inconsciente qui pousse à se positionner au centre du monde. A leur façon, ils crient : "J'existe !!!!!". Et pour montrer qu'ils existent, ils se mettent en valeur selon les repères qu'on leur a appris et retombent dans le schéma "devoirs et obligations". C'est un cercle infernal qui n'en finit pas... S'individualiser demande beaucoup de courage car cela inclut de ne plus être tributaire du regard des autres. "J'existe parce que j'ai décidé d'exister et cela ne concerne que moi".
Maintenant, plutôt que de choisir entre l'égo et l'alter, je préfère opter pour le partage... Il me semble que c'est la voie du milieu, celle de l'équilibre.

Loan a écrit:

Maintenant, plutôt que de choisir entre l'égo et l'alter, je préfère opter pour le partage... Il me semble que c'est la voie du milieu, celle de l'équilibre.

Question de préférence, c'est vrai.

D'accord avec toi, tous les chemins ne sont pas adaptés pour tout le monde.

Pas tout à fait ok quand tu dis que l'égo rejaillit actuellement parce qu'il a été nié ou mis sous silence (ai je bien compris?).
Je crois que l'égo est attaché aux basques de de l'homme depuis la nuit des temps.(tiré de "l'avocat du diable", NDLR)

Mais c'est comme dans tout, mal employé, mal dirigé, l'ego nous empoisonne et pourit la vie, comme c'est le cas de toute chose lorsqu'elle devient excessive et sans contrôle.

Là ou je te rejoins enfin, c'est quand tu dis que l'individualisation demande du courage, j'ajouterai même du détachement.

Un peu comme un grand lacher prise, (thème cher à ce forum) mais vis à vis des autres.

Un dernier mot pour satisafaire ma curiosité que tu aiguillonné : qu'entends tu par la notion de partage?

@+ claus

Pour moi, le partage, c'est vivre ensemble en reconnaissant et respectant chaque individu tout en favorisant les échanges. Tout le monde donne et tout le monde reçoit. L'énergie circule librement. Chacun s'enrichit et permet à l'autre d'avancer aussi. Du partage nait alors un élan général vers un mieux-être et une ouverture spirituelle. En partageant, on retrouve confiance en soi, confiance en l'autre et dans une même logique, Confiance en la Vie.

Merci Claus, ta question m'a obligée à mettre des mots sur ce concept. Ca fait parfois du bien d'entrer dans la matière... Même si les mots paraissent souvent limitant et manquant de justesse.

Salut Loan,

Quand on met les mots sur les concepts et qu'on est satisfait de la définition, c'est que le concept est acquis.

Je comprends mieux ta vision du partage.

J'en vois les limites, bien sur (mais c'est un réflexe professionnel, chez moi. Ce n'est pas du mauvais esprit), mais je ressens aussi tout son intérêt et sa portée.

Je vais voir comment je pourrai intégrer un peu mieux ce partage à ma conception du sens de la vie, notamment lorsque l'échange est à sens unique, ce qui à mon avis, arrive trop fréquemment... :x

Loan tu as dit:

Pour moi, le partage, c'est vivre ensemble en reconnaissant et respectant chaque individu tout en favorisant les échanges. Tout le monde donne et tout le monde reçoit. L'énergie circule librement. Chacun s'enrichit et permet à l'autre d'avancer aussi. Du partage nait alors un élan général vers un mieux-être et une ouverture spirituelle. En partageant, on retrouve confiance en soi, confiance en l'autre et dans une même logique, Confiance en la Vie.

Ouai! super! de toute façon c'est vers cela que l'on se dirige de + en +! la société de demain

Et j'oubliais de dire justement aujourd'hui avec aussi ce forum!

Loan a écrit:

... Même si les mots paraissent souvent limitant et manquant de justesse.

D'autant qu'en français, "partage" veut aussi dire "division".
Ça prête à confusion.

Claus a écrit:

...lorsque l'échange est à sens unique, ce qui à mon avis, arrive trop fréquemment.

Ce n'est donc plus un échange. Toi qui aime les définitions précises