Éfficacité de la médaille de saint benoît

Bonsoir Bebel,

Oui on avais vu ensemble pour la fameuse prière dans les premieres pages de ce sujet. Je compte la faire bénir mais pas eu le temps de m'en occuper... j''ai un peu regardé où je pourrais le faire faire à Paris et je sais pas trop, n'étant pas pratiquante.

Quesque t'en pense Mame si je demande aux soeurs rue du Bac? Elles ont leur propre médaille que tu connais (et qui n'as rien à voir) mais j'aime bien ce lieu et c'est pas loin de chez moi.

Bonsoir à tous,

Il vaudrait mieux - si on n'ose le faire soi-même - car la prière spécifique est répandue (hors abbé Julio, vais tâcher de la retrouver), la faire bénir par un prêtre appartenant à l'ordre bénédictin, c'est la logique même et ce qui est conseillé !

Vous pouvez donc commander des médailles de Saint-Benoît bénites à toute abbaye bénédictine : Solesmes, etc.

BENEDICTION DE LA MEDAILLE :

Je t'exorcise par Dieu le Père Tout-Puissant, qui a fait le Ciel et la Terre, la mer et tout ce qu'ils renferment : Que toute puissance de l'ennemi, toute force armée du diable, toute influence de Satan soient arrachées et chassées de cette médaille, afin qu'à tous ceux qui s'en serviront elle procure le salut de l'âme et du corps. Au nom du Père Tout-Puissant, de Jésus-Christ Notre-Seigneur et de l'Esprit Saint Consolateur, dans l'amour de ce même Seigneur Jésus-Christ, qui viendra juger les vivants et les morts et qui règne dans les siècles des siècles. Amen.

Prions : Dieu Tout-Puissant, dispensateur de tout bien, nous te supplions instamment, par l'intermédiaire de notre Père Saint Benoît, de répandre ta bénédiction sur cette médaille, afin que tous ceux qui la porteront et s'appliqueront aux bonnes oeuvres méritent d'obtenir la santé de l'âme et du corps, la grâce de la sanctification et les indulgences qui nous été concédées ; qu'ils puissent, avec le secours de ta miséricorde, échapper à toutes les embûches et tromperies du démon et se présenter un jour, saints et sans tache, devant ta Face. Par Jésus le Christ, Notre Seigneur. Amen

HISTORIQUE

Au centre de l'Histoire se dresse la Croix. C'est par elle que Notre Seigneur Jésus Christ a opéré le salut du monde. Les premiers chrétiens avaient une grande dévotion pour le signe de notre rédemption. Ils aimaient se signer pour tout acte de quelque importance dans leur vie journalière : au lever, au coucher, aux repas, avant de sortir, à chaque nouveau travail, etc.

Saint Benoît (480-547), eut aussi en grande estime le signe de la croix. La dévotion à l'instrument de la Passion et au signe de la croix est restée en honneur chez les Bénédictins à travers les âges et l'on cite bien des prodiges que des saints de cet Ordre ont accomplis par un simple signe de la croix.

Quant à la médaille elle-même, son existence n'est attestée que vers le milieu du XVIIème siècle mais très vite elle se répandit partout et devint très populaire.

Copyright - 1994 - Abbaye Saint-Pierre de Solesmes - 72300

Bonsoir Verveine

À solesmes ils vendent trois type de médaille saint Benoît qui ont chacune une gravure différente de dos comme de face. On est alors en droit de se demander s'il y a des différences d'efficacité selon ce qui est gravé dessus ou si c'est la bénédiction qui fait tout de part l'égrégore auquel elle fait appel.

Car si tout est principalement dans l'égrégore, pourquoi pas tenter de faire cette bénéfiction sur n'importe quel bijoux neuf et voir s'il s'imprègne de l'égrégore saint Benoît...

Qui sait... Puisque tout est dans l'intention

Bonsoir,

Toutes les médailles de st. Benoît sont efficaces. j'en ai de plusieurs types, de Solesmes ou d'ailleurs (je suis né pas très loin)
L'intention est importante - "On lui demande de nous protéger", mais la médaille sert de support à cette intention.

En clair, pour une bonne efficacité, il faut : Une médaille bénite servant de support à une intention qui puise son énergie dans un égrégore.

Pour Verveine : Les médailles ne sont jamais vendues bénites, ce serait de la simonie (commerce de choses sacrées)

Pour l'avoir déjà fait avec succès (demandez à Wisch) il est possible de bénir à distance, aussi surprenant vela soit-il. (radionique ?) Il me faut seulement la photo de la médaille et le prénom du donateur ou du récipiendaire. Les photos seront regroupées parce que je n'ai pas que cela à faire.

.KA. a écrit:

Quesque t'en pense Mame si je demande aux soeurs rue du Bac? Elles ont leur propre médaille que tu connais (et qui n'as rien à voir) mais j'aime bien ce lieu et c'est pas loin de chez moi.

Si tu vas rue du Bac (ce que je te conseille, c'est vraiment un endroit extraordinaire, poses-y ce que tu as à y poser) fais bénir une médaille de la rue du Bac... Si tu y penses, c'est que c'est bon pour toi !

Pour la médaille de Solesmes, il y a une prière spécifique du prêtre napolitain Don Caruso : O solesmes Io sta 'nfronte a te !

Mame a raison de le rappeler, age quod agis !

Oui Geo. L'est bien connue, surtout dite par Fra Pavarotti...
Publiées en 1898, les paroles sont du poète napolitain Giovanni Capurro et la musique du chanteur napolitain Eduardo Di Capua.

Bonjour,

D'accord avec Bébel et Mme. Dulac, mais, il y a un "MAIS":

De fausses Médailles de la rue du Bac circulent à profusion et sont vraiment DANGEREUSES, idem pour les Médailles de Saint BENOIT,
la vraie Médaille de Saint BENOIT avec les lettres et les signes parfaitement synchronisés pour "parer les attaques négatives", sont
désormais introuvables, la plupart sont faites à l'usine à la chaine; volontaire ou pas , Elles ne "sont plus aux normes Spirituelles" et
donc complètement INNEFICACES; un boulon trouvé par terre au hasard aurait certainement plus d'éfficacité.

Pour la Médaille Miraculeuse entre autre, voir ce lien :

http://viens-seigneur-jesus.forumactif.com/t38-attention-de-fausses-medailles-miraculeuses-circulent-partout

J'ai une Médaille de Saint BENOIT qui a à ce jour, a 315 ans (1698) elle est en cuivre, état presque neuf (95%) , Elle a toujours été rangée dans une petite boite (certainement de la même époque ou à peu près. . .) en bois vernie ( moins vernie certe)
avec différents signes Spirituos-religieux difficiles à "décrypter", je ne m'en suivi servi qu'une fois, pour guérir un cheval à priori
"envoûté" (ne mangeait plus, boitait avec d'énormes troubles intestinaux) j'ai mis la Médaille trois heure environ dans un verre d'eau,
sans prière ou rituel quelconque, le propriétaire du cheval a par la suite "arrosé la tête du cheval" avec l'eau, le lendemain le cheval
remangeait, ne boitait plus et les troubles intestinaux avaient disparus totalement; le cheval vit toujours et en pleine forme par
contre, un proche voisin est tombé malade quelques jours plus tard (même symptômes que l'animal:Bizarre non? . .) n'en n'est pas
mort mais une de ses jambes est restée complètement paralysée. . .

Re-bonjour,

Suite et oubli du texte précédent, j'avais une autre Médaille Saint BENOIT; une de notre époque, à chaque fois que je la
portais, les "ennuis pleuvaient de partout", par contre Celle en Cuivre précédemment citée, est et reste dans sa boite; si besoin est,
je m'en servirai comme pour le cheval mais en dernier recours; le Sacré (LE VRAI!) se doit d'être TRES RESPECTE et ne pas s'en
servir à tort et à travers pour des petites "babiolles"; comme le disait Bébel à juste titre : LE CANON et la CUIRRASSE, exemple,
" ne pas sortir un révolver Python Magnum 357 et tirer" sur quelqu'un qui vous a fait un bras d'honneur en voiture à un carrefour; si
l'on peut le rattrapper; une gifle suffira largement pour le calmer ou et lui faire apprendre la politesse et le RESPECT . . . Je le redis,
c'est EXEMPLE pour comparer . . .

Bonjour,

Merci Jacques pour ce site sur les fausses médailles.
J'ai examiné mon stock qui vient en direct de la rue du Bac. Ouf ! elles sont conforme et en aluminium.
J'ai aussi regardé celles reçues par héritage, et là, surprise. Il y une médaille avec le texte en anglais et la mention : "Italy" elle est aussi platifiée sur un coté et les pattes du "M" s'écartent. J'en ai une autre avec deux traits entre le "M" et les deux coeurs ainsi que la mention "France". A quand des "made in China" ?
J'en ai une autre, en bronze, usée par le temps, dont le texte est réparti sur 2 ovales autour de la Vierge dont la tête est inclinée différemment. De l'autre coté il y 22 étoiles et les deux traits comme précédemment.

j'ai aussi une médaille de N.D. de la Salette, en bronze, une de N.D. de Guadalupe en bronze aussi (1830 ?) et une de sainte Thérèse en argent. (ou argentée)

j'ai aussi une curieuse médaille en bronze portant sur une seule face l'étoile de David, avec de petites croix pattées aux pointes et 8 ou 9 caractères répatis sur les petits cotés de l'hexagramme; peut-être de l'hébreu ? il n'y a rien au dos. Est-ce que quelqu'un connait ?

"Pour Verveine : Les médailles ne sont jamais vendues bénites, ce serait de la simonie (commerce de choses sacrées)"

Oui si l'on fait payer la bénédiction, non si ce n'est pas le cas.

Et "choses sacrées" est un bien grand mot : une médaille bénite n'est pas sacrée comme l'est une hostie, voyons !

Bonsoir,

De part sa bénédiction, une médaille devient une chose sacrée. Qu'on le veuille ou non.

Je ne suis pas d'accord, c'est tout ; la langue française est bien faite et utilise les mots pour ce qu'ils signifient.

La consécration procure à l'hostie une qualité que n'aura jamais une médaille de X., Y., Z. et ce n'est pas moi qui l'invente.

Pour ceux qui ont un certain regard tout est sacré, béni ou non, d'ailleurs dit-on 'béni' ou 'bénit' ?... Il semblerait que le 't' soit accolé aux objets et que les personnes, elles, soient bénies, non bénites.

Tout le monde peut bénir, seul un prêtre ordonné peut consacrer ; j'espère ne rien apprendre à quiconque.

Verveine a écrit:

Pour ceux qui ont un certain regard tout est sacré, béni ou non, d'ailleurs dit-on 'béni' ou 'bénit' ?... Il semblerait que le 't' soit accolé aux objets et que les personnes, elles, soient bénies, non bénites.

Tout le monde peut bénir, seul un prêtre ordonné peut consacrer ; j'espère ne rien apprendre à quiconque.

Bonjour Verveine,
Voici ce qu'en pense le petit Robert 2013

bénir [beniʀ] verbe transitif
(vient du latin benedicere, de bene → 2 bien et dicere → 1 dire)
I. 
1. (Dieu) Répandre sa bénédiction* sur. ➙ protéger. — fam. Dieu vous bénisse, souhait adressé à qqn qui éternue.
2. Appeler la bénédiction de Dieu sur les hommes. Bénir les fidèles. Le prêtre qui a béni leur union.
■ Consacrer (un objet) par des cérémonies rituelles (➙ bénit).
3. Souhaiter solennellement bonheur et prospérité à (qqn) en invoquant l'intervention de Dieu. — au p. p. Soyez béni !
II. 
1. Louer, glorifier (Dieu). Béni soit le Seigneur.
2. Glorifier, remercier (qqn, qqch.). Je bénis le médecin qui m'a sauvé. Vous pouvez bénir ce concours de circonstances.


béni, ie [beni, i] adjectif
(de bénir)
■ Qui a été béni. Être béni des Dieux. ➙ aussi bénit.

bénit, ite [beni, it] adjectif
(vient du latin → bénir, benoît)
■ (choses) Qui a reçu la bénédiction du prêtre avec les cérémonies prescrites. Eau bénite. ➙ aussi béni. — loc. C'est pain bénit : c'est une aubaine.

Verveine a écrit:

Pour ceux qui ont un certain regard tout est sacré, béni ou non, d'ailleurs dit-on 'béni' ou 'bénit' ?... Il semblerait que le 't' soit accolé aux objets et que les personnes, elles, soient bénies, non bénites.

Tout le monde peut bénir, seul un prêtre ordonné peut consacrer ; j'espère ne rien apprendre à quiconque.

Bonjour Verveine,
Voici ci-dessous la définition du mot bénir proposée par le dictionnaire de français Larousse 

 bénir

verbe transitif  
(latin benedicere, de bene, bien, et dicere, dire)
En parlant de Dieu, combler quelqu'un de biens, faire prospérer quelque chose par une faveur divine : Dieu bénit Abraham.
Appeler sur quelqu'un, quelque chose la bénédiction de Dieu, selon le rituel fixé par l'Église : Bénir une union.
Louer quelqu'un, son action par reconnaissance ou, ironiquement, les maudire ; se féliciter de quelque chose : Bénir un ami de son intervention.


bénit, bénite

adjectif
Qui a reçu la bénédiction du prêtre, sanctifié par une bénédiction en vue d'un usage sacré : Eau bénite.

Pour " seul un prètre ordonné peut consacrer " en théorie, dans la relgion catholique. Il semble que ce ne soit pas toujours le cas, il faut que je retrouve cet article

Bonjour Lémanique !

Tu peux chercher... c'est sûr, certain, authentifié d'avance. En écrivant cela je n'avalise pas spécialement la religion catholique et ses us et coutumes, c'est un fait ; ainsi, seul un prêtre peut conférer certains sacrements (sauf le baptême et le mariage), il est tout à fait certain qu'en ce qui concerne l'hostie, seul un prêtre peut en être en charge ; rappelez-vous l'interdiction totale, il n'y a pas si longtemps, de toucher avec les doigts - par un laïc - une hostie qui serait tombée par mégarde. Pour cette raison, autrefois, oui, autrefois, on communiait agenouillés en se transmettant un plateau afin d'éviter que l'hostie, déposée par le prêtre sur la langue, ne tombe.

Je me souviens d'innombrables exercices en ce sens (via hosties non consacrées) afin d'éviter ce qu'on appelait à l'époque un sacrilège - encore une fois mon opinion n'importe guère.

D'où... l'immense sacrilège, je pèse mes mots mais ils sont justifiés, de confier à n'importe quel quidam la possibilité de 'distribuer' via de vastes corbeilles (oui c'est vérifié !) des hosties préalablement consacrées par un prêtre mais que les quidams n'ont pas le droit de toucher, pas plus, théoriquement, que les communiants !

Eh oui, le concile Vatican II fut une chute - calculée, voulue par l' Eglise elle-même, vers l'Abîme - On peut commenter cela sur un autre fil.

La communion sur la langue avait sa raison d'être ; aujourd'hui c'est si facile d'en prendre une sans la consommer, la garder par devers soi pour en faire ce qu'on veut (la donner à un malade ou s'en servir pour des messes noires...) par la suite sans la moindre habilitation. Il serait heureux qu'on rende aux mots leur vrai sens surtout en abordant tels sujets ; mon adhésion ou non à cette religion n'a rien à voir en la matière ; il faut reconnaître ce qui EST.

Pour " seul un prêtre ordonné peut consacrer " en théorie, dans la religion catholique. Il semble que ce ne soit pas toujours le cas, il faut que je retrouve cet article"

Ce n'est pas de la théorie...

Eh bien nous chercherons ensemble

Un diacre peut recevoir la bénédiction par son évêque et le prêtre de la paroisse de distribuer l'Eucharistie aux fidèles, soit à partir d'un second calice à la liturgie ordinaire où un prêtre est présent, soit dans le cadre d'une typika qui est célébrée lorsque le prêtre est absent. En aucun cas, cependant, le diacre n'a la capacité ou le pouvoir de consacrer les Saints-Dons par lui-même.

Cf : "wikipedia - ordre - sacrements" - Mots-clefs : "consécration, pouvoir, prêtre".

Sur ce, bon appétit !

Verveine,

Merci pour ces précisions.
Il possible que je sois dans l'erreur sur ce sujet ?

cordialement

verveine a écrit:

j'espère ne rien apprendre à quiconque

Ah ben ça c'est bien, faut être poli sur un forum, c'est mieux que de dire "vous êtes cons ou bien ?"

verveine a écrit:

j'espère ne rien apprendre à quiconque

Ah ben non, en fait c'est pas bien, faut pas prendre les lecteurs pour des cons, même en enrobant l'annonce dans du mielleux !

Je suggère une autre formule plus nuancée : "ce n'est pas à vous que j'apprendrai..."

ça met le locuteur et l'interlocuteur sur un pied d'égalité, ça permet au posteur de s'exprimer, au lecteur de le lire, et ça fait un peu moins faux cul ! même si ce n'est pas à nous qu'on va apprendre à lire derrière les lignes

Bonjour,

Et si au lieu de se battre sur des mots, on s'occupait un peu plus de la valeur que représente le symbole (hostie, médaille, ...)

Bebel a écrit:

la valeur que représente le symbole (hostie, médaille, ...)

La valeur que représente le 'symbole' ? Arrrgh ! Strictement rien à voir entre une médaille et l'hostie, bref.