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 La radiesthésie selon Etienne Guillé

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Eole
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Eole


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MessageSujet: La radiesthésie selon Etienne Guillé   La radiesthésie selon Etienne Guillé Empty2012-11-04, 15:57

L’énergie vibratoire de la cellule par Étienne Guillé


27 octobre 2010 Guillé Étienne

(Revue 3e Millénaire. Ancienne Série. No 3. Juillet-Août 1982)

L’ensemble des caractéristiques de ces énergies vibratoires permet de définir ce qu’est un niveau de conscience. Et l’étude de ces niveaux nous montre que nous n’utilisons qu’une infime partie de nos potentialités. Là est la possibilité d’une mutation spirituelle.

Après avoir constaté l’importance du rôle joué dans notre ADN par les métaux (n° 1) et étudié l’espace qui contenait et la matière et l’esprit (n°2), Étienne Guillé va plus loin dans cet article. Pour lui les énergies vibratoires des cellules sont modifiables.
Plus elles s’élèvent en intensité plus le niveau de conscience de l’individu s’élève. Pour le moment rares sont ceux qui peuvent déclencher cette intensification obtenue généralement par la méditation ou la relaxation profonde. Mais demain ? Des mutants auront la volonté et la possibilité de le faire, ils initieront leur entourage et peu à peu, lentement, une grande mutation spirituelle mènera à l’illumination intérieure par la connaissance de l’être en toute lucidité, en toute liberté.

Le mot radiesthésie vient du latin radius qui signifie rayon et du grec esthésie qui veut dire sensibilité. Un radiesthésiste peut donc être caractérisé comme étant sensible aux ondes ou vibrations qu’émet tout corps qu’il soit solide, liquide, ou gazeux. L’emploi de la baguette de radiesthésie, considéré comme art de la rhabdomancie, était connu depuis la plus haute antiquité. Ainsi quelques milliers d’années avant l’ère chrétienne, les Chinois se servaient de la baguette notamment pour rechercher des eaux souterraines.

La radiesthésie proprement dite a vu le jour lorsque le pendule fut utilisé comme appareil de détection. En fait, comme la baguette, il ne constitue qu’un amplificateur de réactions de l’organisme humain. La radiesthésie peut donc être définie comme l’ensemble des techniques permettant de détecter et de mesurer les « ondes » (ou « vibrations ») des êtres ou des objets, grâce à leur action sur l’organisme humain.
Cette définition soulève immédiatement deux problèmes : quelle est la nature des vibrations émises par les objets testés et quelles réactions produisent-elles sur l’organisme permettant de les différencier les unes des autres et même de les quantifier ? Ces techniques sont utilisées non seulement pour la recherche des eaux souterraines et des gisements minéraux et pétroliers mais aussi pour décrire l’état physiologique et surtout pathologique d’un être vivant : végétal, animal et humain.
La détection peut être faite directement sur l’objet ou l’être considéré mais elle peut être pratiquée à distance à l’aide de témoins : cartes géographiques, photographies, cheveux, écritures, etc…

La sensibilité de la détermination dépasse souvent de plusieurs ordres de grandeur celle des appareillages les plus sophistiqués.

Beaucoup d’hypothèses ont été émises pour tenter de donner une explication cohérente des données de la radiesthésie et surtout pour tenter de trouver une interprétation rationnelle de ses stupéfiants succès qui contribuent à la comparer aux techniques divinatoires. Beaucoup de controverses en ont résulté qui découlent des deux possibilités suivantes : la radiesthésie est-elle en avance sur les disciplines scientifiques contemporaines ou bien n’est-elle que fumisterie et charlatanisme puisque actuellement il semble impossible de l’expliquer rationnellement ?

Pour répondre à ces questions, nous allons montrer que tout dépend du niveau de la réalité que nous analysons. Ainsi, il est clair que les branches hyperspécialisées des disciplines scientifiques et en particulier de la biologie n’ont pas accès à un niveau de vision synthétique que seule une méthode d’analyse des systèmes permet d’appréhender. Elles n’ont qu’une vision partielle de l’objet qu’elles analysent et il leur est pratiquement impossible d’intégrer leurs résultats à une vision cohérente du monde quelle qu’elle soit.
Par contre, la radiesthésie et l’astrologie, dans leur acception originelle sont basées sur les méthodologies d’analyse systémique qui permettent notamment de prévoir comment le système analysé peut évoluer compte tenu de son état à un moment donné, de son historicité et de ses potentialités.
Dans le cas précis de la radiesthésie, nous allons voir que c’est une méthodologie très élaborée qui permet de décrire avec une extrême finesse la réception et la transmission des énergies vibratoires pour un support vibratoire donné, et ceci dans une gamme de vibrations de fréquences et d’amplitudes déterminées pour le système considéré.

Mise en évidence des énergies primordiales par les techniques de radiesthésie :

Des faits bruts :

Nous allons décrire des expériences très simples que nous pouvons effectuer avec un pendule classique en testant les émissions d’objets familiers tels que sucre, aspirine, métaux etc. Pour cela, dessinons un cercle sur une feuille de papier et partageons-le en quatre secteurs égaux par deux diamètres perpendiculaires. Nous nous plaçons devant cette feuille de papier en tenant le pendule dans la main droite (ou gauche si nous sommes gaucher) au-dessus du centre du cercle. Dans les conditions dites de références, lorsque notre main gauche n’est pas proche d’un objet ou être émetteur, le mouvement du pendule est un battement régulier d’avant en arrière, suivant un rythme caractéristique de l’individu. Dans certains cas, le mouvement de référence est un cercle ; de plus certaines personnes semblent être incapables de se servir d’un pendule.

Pour tester les émissions d’énergies vibratoires d’un être vivant, d’une substance ou d’une forme (écriture, symbole…), il suffit de diriger l’index de la main gauche (ou droite si nous sommes gaucher) vers l’objet, de 0,5 à 1 centimètre de cet objet, tout en gardant le pendule dans la main droite au-dessus du cercle. Toutes les modifications du mouvement du pendule que nous allons maintenant observer seront dues à la somme de deux types d’énergies : celles qui donnent le mouvement de référence, et celles qui sont émises par l’objet testé : quatre mouvements de base peuvent ainsi être mis en évidence : l’arrêt, des battements dans des directions déterminées, des cercles et des ellipses.

a) Arrêt du pendule :

Dirigeons notre index gauche vers un morceau de sucre. Les mouvements du pendule se ralentissent et il finit par s’arrêter de battre ou de tourner. Cet arrêt peut être symbolisé par le point. Ce résultat est obtenu avec des substances qui ne piègent pas les métaux : substances dites chélatantes. Cet arrêt ne correspond pas à une absence d’émission d’énergie par la substance testée. En fait l’énergie émise ou le système de forces mis en jeu s’oppose à celui qui faisait battre le pendule d’avant en arrière.

b) Battements rectilignes :

Dirigeons notre index vers une bague en or ou en argent. Nous observons d’abord l’arrêt du pendule comme dans l’expérience précédente et ensuite, le pendule reprend ses battements dans plusieurs directions (6 pour l’or, 9 pour l’argent) en alternance avec des arrêts pour chaque direction. Après avoir décrit tout le cercle, il reprend les battements dans la première direction. Nous pouvons symboliser ces différentes directions par des lignes se coupant toutes en un même point : le centre du cercle. Ces battements rectilignes sont induits par les métaux et les sels métalliques qu’ils soient cristallisés ou en solution. D’une manière générale, les directions de battements dépendent essentiellement du cation et de l’individu.

Le nombre et l’amplitude des battements dans une direction donnée dépendent de l’anion, de la dilution du sel métallique et du traitement naturel ou non que le métal a subi. Les variations du nombre de battements sont particulièrement spectaculaires dans le cas de préparations homéopathiques et dans tous les cas de solutions « dynamisées ».

Les directions des battements qui sont toujours au nombre de 12, sont caractéristiques de l’individu qui effectue l’expérimentation : elles sont corrélées à son « véritable » thème astral qui est lui-même dépendant de son patrimoine génétique. En première approximation, l’analyse au pendule suggère qu’il n’y a que deux catégories de métaux : ceux qui provoquent une seule déviation du pendule et qui comprennent notamment les alcalins, les alcalino-terreux, le lithium, etc… et ceux qui provoquent plusieurs déviations du pendule. Ces derniers sont les métaux typiquement alchimiques : Pb, Sn, Fe, Au, Cu, Hg, Ag, Sb, et quelques autres : Zn, Cd, Mn, Ni, Co, Bi, Pt, etc… dont le nombre de déviations va de 3 à 12.

c) Le pendule décrit un cercle :

Testons maintenant une substance telle que l’aspirine qui est une substance chélatante, l’acide salicylique, mais qui ne contient pas de métaux liés dans la préparation pharmaceutique usuelle. Le pendule décrit un cercle qui suivant les individus tournera soit dans le sens des aiguilles d’une montre, soit dans le sens inverse.

Faisons une expérience supplémentaire en couplant les expériences b et c et approchons maintenant notre pouce du métal de l’expérience b, nous allons voir progressivement le cercle se transformer en ellipse dont la direction sera la première direction du métal testé. Et nous verrons successivement 6 ellipses pour l’or et 9 ellipses pour l’argent. Et après un cercle complet de cette « roue magique », nous recommencerons. Dans cette expérience, nous aurons en fait réalisé en nous la synthèse de deux types d’énergie émises par l’aspirine et le métal testé.

d) Le pendule décrit une ellipse :

Ces mouvements ellipsoïdaux sont obtenus avec des molécules chélatantes ayant fixé le métal. La direction de l’axe de l’ellipse nous définira et le métal et la vibration impliqués dans cette énergie. Généralement, il s’agit de la première vibration du métal. Deux informations supplémentaires sur l’amplitude de la vibration nous sont apportées par la grandeur de l’axe de l’ellipse et par le nombre d’ellipses dans une direction donnée. Lorsque le métal est ainsi fixé à une molécule chélatante, il ne dévie plus le pendule que dans une direction alors qu’il pouvait en avoir jusqu’à 12 à l’état de métal ou d’ion.

Interprétations :

Ces expériences élémentaires montrent que les mouvements et les déviations du pendule ne sont pas aléatoires. Ils obéissent à des lois strictes, à un ordre comme l’illustrent les 12 déviations de la grille personnalisée [1]. Si nous réussissons à quantifier les déplacements du pendule, ils deviendront utilisables pour décrire les caractéristiques des énergies vibratoires émises par l’objet testé. Nous avons vu que trois critères peuvent être utilisés pour décrire les déviations du pendule : la nature et le nombre de directions D, le nombre N et l’amplitude A des battements (ou des cercles ou des ellipses) dans chaque direction. Nous pouvons aussi mesurer le temps nécessaire à chaque opération en n’oubliant pas le temps d’arrêt entre chaque changement de direction.

Le pendule ne constitue qu’un amplificateur des vibrations que l’expérimentateur reçoit et transmet dans les différentes parties de son organisme. La justesse des résultats va dépendre de la fiabilité de la réception et de la transmission des signaux émis par la structure testée. Dans le cas de l’expérience décrite ci-dessus, les vibrations émises par l’objet vont modifier le potentiel énergétique des points d’acupuncture de notre index gauche. La perturbation ainsi créée va suivre les méridiens d’acupuncture, elle va être transformée dans l’hypophyse, la glande pinéale et les surrénales et finalement par les nerfs, les muscles et le réseau capillaire du pouce et de l’index droit, elle va être amplifiée au niveau du pendule. Le système de forces que constituent les vibrations initiales va être transformé en mouvements du pendule. Que de voies possibles, mal connues semble-t-il entre la zone de réception du signal et la zone de mesure avec toutes les possibilités de pertes, d’interférences, de « court-circuitage », que de pièges en quelque sorte tout le long de ce circuit !

D’une manière générale, nous avons montré que si nous isolons bien l’objet que nous testons des autres objets émetteurs voisins, si nous sélectionnons correctement la gamme de fréquences et si nous n’exerçons pas le contrôle mental, nous obtenons des faits parfaitement reproductibles [2].

Article complet ici:

http://www.revue3emillenaire.com/blog/l%E2%80%99energie-vibratoire-de-la-cellule-par-etienne-guille/

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