unites bovis

Bonsoir,

faisant pour le plaisir et au gré des rencontres, des relevés d'intensité de lieux et notamment de chapelles et sources, j'ai actuellement le cadran ub du livre "la médecine de l'habitat". Ce cadran étant caduc, sur quelles bases plus actuelles puis-je m'appuyer pour réaliser un cadran, l'aiguille sortant souvent du compte-tours !! Dans la pratique j'emploie un cadran de pourcentages étalonné sur "compostelle=100%". Est-ce bien raisonnable ?

Quand le pendule va au-dela du cadran, je multiplie par 10 (par exemple) la notation indiquée sur le cadran. par exemple : 1000 devient 10000 !
De toutes façon l'échelle est virtuelle !
Je ne sais pas si je suis bien claire dans mes explications !

bonjour avuah,

merci pour ta réponse avec laquelle je suis d'accord, tant sur le changement d'échelle que sur le côté virtuel de toute quête. Il m'arrive de plus en plus de travailler sur un cadran 'imaginaire' à savoir que je pendule en imaginant un cadran dans l'espace sous mon pendule.

A bientôt.

Tu peux te faire une abaque universelle, comme celle que j'avais faite il y a longtemps.



Tu as aussi aujourd'hui des logiciels qui te permettent d'en faire sans prendre un compas, comme celui de Kbalist de la liste rad : http://dl.free.fr/getfile.pl?file=/9eprYzWU

Echelon nous fait profiter de la sienne :



A chacun sa façon de mesurer, à chacun son échelle. Perso, il y a longtemps que je ne mesure plus rien, sauf parfois quelques %. Il faut prendre un témoin, comme tu l'as fait avec Compostelle avec qui tu peux comparer, pourquoi pas si c'est ta référence.

Bonsoir,

L'un des problèmes quand on mesure un niveau vibratoire, c'est l'étalonnage. Tout appareil de mesure utilisé en physique est étalonné sur une référence. le Service des poids et des mesures est là pour ça. En radiesthésie, en dehors de la mort qui correspond au zéro, et encore on n'en est pas certain, rien ne nous indique à quoi correspond une mesure. Il y a une deuxième valeur qui peut servir de référence, dans l'hypothèse ou tout le monde est d'accord, tout au moins ceux qui sont raisonnables, c'est celle du niveau vibratoire de notre planète. Si on admet qu'aujoud'hui 10 000 est le taux vibratoire de la terre, c'est un premier étalonnage.
Dans mes stages, lorsque les stagiaires font leurs premières mesures, généralement sur de l'eau, les écarts entre les résultats varient du simple au quintuple, ce qui est normal. Lorsque je leur demande de refaire leurs mesures, sur la même eau en sachant que moi je touve une valeur X, la fourchette des écarts diminue considérablement. Ils commencent à s'étalonner et au fil du stage cette fourchette diminue encore, leur sensibilité augmentant aussi en parallèle. Nous ne trouvons jamais tous la même valeur, et c'est heureux car nous ne sortons pas tous du même moule. Je constate très souvent, avec des amis qui n'ont pas eu la même formation que les écarts sont très faibles et surtout, que les variations vont dans le même sens.

Rejeter l'utilisation de l'échelle de Bovis, avec ses améliorations, sous prétexte que les valeurs divergent trop, c'est se priver d'un outil d'évaluation d'une donnée important. C'est comme si un électricien rejetait l'utilisation du voltmètre et le remplaçait par la proximité de ses doigts dans une prise. J'en ai connu un, qui avait beaucoup de corne sur les doigts et une forte résistivité, malheureusement il n'est plus là.

Se méfier aussi des changements de plans intempestifs qui peuvent décupler une lecture sans qu'on s'en aperçoive.

Ceci étant, le cadran "papier" quelle que soit son échelle ou sa complexité n'est qu'un support. En cas d'urgence on peut utiliser les doigts d'une main ou un cadran mental. Le résultat sera tout aussi fiable, si l'étalonnage est bon.

Bonsoir,
Voici la dernière version de mon cadran fétiche ^^
@+

Merci !
superbe...

Salut bebel et merci pour ton exposé, tous tes posts me parlent particulièrement. Peut être que la réflexion qui suit va te faire grimper aux rideaux, mais vois-tu je cherche aussi à me comprendre pour ensuite comprendre ce que je peux capter : J'ai le sentiment que parfois le cadran bovis, lorsque je fais une lecture, me permets de me rendre compte, qu'aujourd'hui et ben...vaut mieux plier la caisse à outils car je suis pas en forme et que si la lecture que je fais est 'anormale' cela provient aussi de mon antenne intérieure qui s'est décalée. Qu'en penses-tu ? Quant au cadran à fonctions multiples, il me déstabilise et je préfère encore travailler avec un cadran mental qui pour moi est aussi précis qu'un cadran papier.

Par avance, merci

Salut échelon62,

merci pour ton cadran, malheureusement j'ai du mal avec les cadrans multifonctions qui me bloquent ! Je ne suis jamais arrivé à faire sauter ce verrou et je me mélange les pinceaux à chaque fois. Par contre j'ai remarqué qu'il monte haut en unités bovis, j'en était encore avec le tableau à 30 000 ub originel et pensais que sur les relevés que je faisais, j'étais complètement sorti, même si j'acceptai un certain dépassement comme fiable.

Bonsoir,

mistral a écrit:

Salut bebel et merci pour ton exposé, tous tes posts me parlent particulièrement. Peut être que la réflexion qui suit va te faire grimper aux rideaux, mais vois-tu je cherche aussi à me comprendre pour ensuite comprendre ce que je peux capter : J'ai le sentiment que parfois le cadran bovis, lorsque je fais une lecture, me permets de me rendre compte, qu'aujourd'hui et ben...vaut mieux plier la caisse à outils car je suis pas en forme et que si la lecture que je fais est 'anormale' cela provient aussi de mon antenne intérieure qui s'est décalée. Qu'en penses-tu ? Quant au cadran à fonctions multiples, il me déstabilise et je préfère encore travailler avec un cadran mental qui pour moi est aussi précis qu'un cadran papier.
Par avance, merci

Il y une question obligatoire à poser avant toute mesure, c'est la question : " PUIS - JE ?"

Si la réponse est non, inutile d'insister, les réponses seront bizares.

Salut bébel,

je te remercie pour ta réponse d'autant plus que tu dois être pas mal sollicité par ailleurs.

Je dois dire que tu as l'art d'aller à l'essentiel et notamment en ayant développé le don de lire entre les lignes !
Le "PUIS-JE ? " , recommandé par l'ensemble des vieux routiers, m'a toujours gêné car je ne comprends pas sa signification exacte (eh, oui..).
- Demandes-tu une permission à ....(quelqu'un ou quelque chose ?..d'ordre divin ou universel, à chacun sa conception) ? Si c'est le but, alors pourquoi demander une autorisation à ce quelqu'un ou quelque chose qui a le pouvoir de bloquer ton pendule en position inerte et t'empêcher ainsi toute recherche...le message serait tout aussi clair...à moins bien sûr que la part du libre arbitre est quelque chose à voir là-dedans !
- Est-ce plutôt une démarche pour conditionner ton esprit et enclancher le processus de recherche ? Parce que dans ce cas précis, je peux tout aussi bien m'autosuggestionner en répondant OUI au "PUIS-JE ? " pour ne pas à avoir à différer mon investigation.

A bientôt et avec plaisir.

S'cuse de répondre avant Bébel, mais je vais donner mon avis là dessus, la demande permission dans tous travaux s'apparente à la demande d'un enfant à ses parents pour avoir la permission de....Y a des fois où ça gonfle les parents que tu poses toujours des questions pour savoir si tu peux faire si ou mi.....Après, t'es pas à l'abri d'une fessée si t'as dépassé les limites.......je le sens comme ça, parce que c'est comme ça qu'on grandi hein......

wish.

il ne faut pas entendre dans le "puis-je" tant la permission que la capacité !

précizionzutilement votre

géo

Echelon62 a écrit:

Bonsoir,
Voici la dernière version de mon cadran fétiche ^^
@+

Bpnjour étant très novice en la matière , j'aimerai savoir a quoi te ( si je peus vous tutoyer ) sers les % et l'échelle graquée de 0.1 à ++

Merci

Pour répondre à Mistral voilà comment je ressent le "puis-je ?" ; c'est un peu comme se demander si on est en suffisamment bonne condition pour faire une randonnée sur un sentier de difficulté X. La réponse à cette question conditionne à la fois le fait de le faire ou pas et ce que l'on retirera de l'expérience. Rien n'empêche la personne d’entamer la randonnée avec des chaussures de ville le lendemain d'une cuite et peut-être même parviendra-t-elle au bout. Mais à quel prix et pour quelle satisfaction et/ou prise de risque pour elle et pour les autres ?
On ne pendule pas "juste pour jouer", en tous cas pas moi. Il y a en général quelque chose de sérieux et la moindre des choses est de respecter une certaine éthique. Le fait de se demander si on se trouve "en état" de réaliser certains travaux entre dans le cadre de cette éthique.
Il ne s'agit de moraliser, ce que j’exècre, mais de se placer dans les conditions minimales admissibles. Donc pour une randonnée, de se munir de chaussures adéquates et de s'interroger sur notre condition physique et nos capacités techniques par rapport au gradient du sentier en question. En gros, c'est de la Responsabilité, tu te donnes toi-même l'"autorisation" ou pas de faire. Rien n'empêche de faire sans mais il ne faudra pas pleurer sur les conséquences éventuelles. A chacun(e) de "sentir" où se situent les limites.
J'utilise donc le "puis-je" comme un auto diagnostique sur ma capacité à opérer sur telle ou telle chose. Je peux évidemment me tromper lors de ce pré requis ou me faire influencer mais cela ne devrait pouvoir se faire qu' "en toute bonne fois". Je ressent en général comme un genre de micro crispation quelque part entre ma moelle épinière et mon poignet lorsque je "force" une réponse, exactement comme une disharmonie dans l'écoulement du flux nerveux. Et je mettrais la plupart du temps un point d'honneur à tenter de comprendre après coup pourquoi je me suis fourvoyé si tel a été le cas.