Kyste astral

Ayla a écrit:

Vas chez un(e) collègue magnétiseur-zeuse !
nan ?

Je suis contente de découvrir cette discusssion et l'évolution qu'elle prend.
Je suis le "sujet type" pour le kyste astral et physique.
J'ai cherché la résolution énergétique et physique, aidée par un psy, des thérapeutes, un acupuncteur, un chirurgien, compris les traumas avec les constellations familiales, le décodage biologique mais est toujours resté un doute sur la résolution. Très peur d'ailleurs d'aller voir un médecin pour vérifier.
Avec la suggestion d'Orion je découvre cette citation:
Creer à partir de l'intérieur et pas de l'extérieur.
Que peuvent des flopées de magnétiseurs ou thérapeutes si la pensée n'enclenche pas et surtout ne conserve pas une dynamique positive et créative?
Alors certes il y a eu des tas de livres écrits sur la pensée créatrice, mais reste les mots justes au moment juste, puis ce sport qu'est la pensée créatrice à pratiquer quotidiennement.
Chasser les pensées toxiques comme on chasse les araignées de sa maison, ou comme on fait le ménage (ce qui n'est pas mon fort j'avoue).
Merci Orion, j'ajoute au conseil de lecture: "Le Pouvoir du Moment Présent" d'Eckart Tolle

je profite de ce sujet pour demander un conseil. Je travaille actuellement dans un bureau où se trouve une collègue. Elle est avenante, gentille...mais moi, je la ressens comme une pieuve qui capte toutes les énergies et qui se gonflent en puissance de tout celà. J'ai bien essayé de changer mon regard mais l'image ne cesse de revenir. Si bien que le soir, je suis assaillie de pensée et parfois j'enrage (ce n'est pourtant pas dans ma nature). Je coupe sans arrêt mon mental de ma journée mais parfois je suis assaillie (énergétiquement) la nuit. J'utile le son d'un bol tibétain, parfois ça coupe net, d'autre fois mes formes pensées reviennent. Je sens bien que je suis entrain de me créer ce "kyste astral" situé juste au niveau de l'assise de l'âme que j'alimente quotidiennement. J'essaie de me positionner autrement dans mes pensées, regardant pour quelle raison j'alimente cette colère si c'est de la jalousie...Je ne vois rien de tel, simplement une lutte car elle essaie de me rendre inexistante. Un exemple, on me pose une question c'est elle qui répond. Lorsque je lui signale que la question m'était destinée, elle s'excuse me disant qu'elle n'avait pas vu. C'est quotidien. Elle m'isole, invitant les collègues le soir chez elle, se liant...
Quant à moi, je suis de plus en plus inexisante et j'ai beau me dire que ça n'a pas d'importance (histoire d'égo), je m'aperçois des limites entre théorie et pratique. Je vis dans la matière et j'ai ma place (mon espace vital), je dois pas me laisser effacer du tableau. Voilà, situation difficile, création de formes pensées, consciente je rentre en lutte pour éviter qu'elles deviennent une grosseur dans l'astral car j'ai conscience que ce kysthe peut se transformer en maladie et au cours des années en "canser".
Je pense alors à toutes les personnes qui ont des situations difficiles dans leur travail (et il y en a) toutes ces maladies actuellement présentes (dépression, canser...) et me dis si deux personnes qui ont tout pour être heureuse s'affrontent ainsi pour une question de non respect d'espace vital où va notre planète.

fugen a écrit:

Que peuvent des flopées de magnétiseurs ou thérapeutes si la pensée n'enclenche pas et surtout ne conserve pas une dynamique positive et créative?

Pourtant, et cela rejoint la médecine philipinne qui est passée maître dans l'art de matérialiser les maux afin de les retirer sous la forme de kystes matériels, la résorbtion des kystes physiques, fibromes, etc ... est un domaine où traditionnellement le magnétisme s'applique avec une bonne réussite.

Cela peut nous donner l'idée que le principe même de l'enkystage, qu'il soit physique ou non-physique, demeure une réaction naturelle qui n'est pas dépourvue d'utilité. Cela peut également être un signe de bonne santé d'un système. On isole un truc qui est perçu comme un possible empêcheur de fonctionner correctement, on fait en sorte qu'il n'ait plus de rapport avec le système et on met de côté. Le nombre de petites boules qu'on peut ainsi avoir en nous est hallucinant. Ça va du petit bouton sur la peau, au polypes qui se fixent où ils peuvent, etc ...

Cela ne traduit pas nécessairement un dysfonctionnement, bien au contraire.

Il peut y avoir une forme de confusion dans le fait d'assimiler les mémoires traumatiques à des kystes, car le kyste par définition est isolé, et donc n'a pas de raison d'interférer avec le système, alors que la mémoire traumatique ne l'est pas, elle continue de jouer un rôle .

C'est là qu'à mon avis la notion de kyste astral est innapropriée car soit le bidule est enkysté et donc "isolé" et il n'a plus de raisons d'interférer avec le système (il n'a donc pas de fil pour le relier à quoique ce soit) , il est "inactif", soit il interfère, ce qui est en soi le signe qu'il n'est pas enkysté.

Ça renforce pour moi l'idée que la visualisation qui par ailleurs peut être très utile dans certains cas, n'est quand même pas l'approche idéale à utiliser en toutes circonstances. Il y a dans ce domaine, comme dans celui des mémoires traumatiques finalement, une nécessité d'identification : il faut mettre les bons mots sur les choses.

Couou Fugen,

Et encore mieux "Nouvelle terre" d'Eckart Tolle.
Si tu habites la région parisienne, je peux te donner en MP, les coordonnées d'une amie sure qui peut t'aider.

Dis m'en plus en MP alors..