Dans le miroir !

bon, je vais peut être raconter une connerie, mais si on fait abstraction d'une entité, ou autre bébête de ce genre, ça ne pourrait pas être "Toi", ton "Moi" dans ce qu'il a de sombre? Tes peurs?
Je pense qu'on y est tous confrontés un jour...

ok, je sors

Bonjour,


Je me suis également livré à ce genre d'expérience. Dans le bouquin que je lisais à ce sujet, et je l'ai moi-même expérimenté, ils disaient qu'on peut voir des visages en surimposition de son propre visage, de tels visages peuvent avoir de multiples sources ; guides ou visages de vies antérieures inscrit dans l'aura causal. Ce que j'ai pu voir moi-même c'était effectivement d'une couleur plutôt sombre... et pouvait être impressionnant (moi je trouve flippant de voir qqc d'inconnu débarquer de nul part) mais j'essaie d'abandonner tout à priori (à priori n'est pas le bon mot, tant pis) dans ce genre d'expérience car tout est déformé et surtout c'est flou !

Mais la grosse différence d'avec ce que tu décris c'est que le visage que tu pouvais voir n'était pas superposé avec ton propre visage n'est ce pas ? (attention cependant à la persistance rétinienne) Et que veux-tu dire par "fouillait ta tête" ?

Petite question : tu les positionnes comment tes bougies ?

Bonjour Salamandre.
Merci de ton commentaire très intructif et documenté. Non ce visage n'était pas superposé avec le mien. Il était derrière moi à ma droite bien distinct et indépendant de mon image. Il n'avait ni rictus ni expression pas menaçant. Il scrutait simplement, peut être qu'il "pompait ma lecture et mon travail de reflexion... En tout cas pour que je lève la tête il fallait qu'il soit insistant et pénétrant dans son regard. De plus je ne sais pas depuis combien de temps il était derrière moi.
Ce genre de regard je l'ai expérimenté quand je marche derrière quelqu'un en fixant la base de son crâne, 8 fois sur 10 il se retourne et cherche ce qui le dérange.

Ce n'étais pas non plus une persistance rétinienne. Je connais le phénomène en ayant expérimenté le phosphénisme, ça n'a rien à voir.

Je pencherais assez pour un visiteur outre tombe mais pas négatif, ou une matérialisation d'une vie antérieure ?? En pleine nuit, j'ai flippé un max quand même.

Pour le travail du soir rosicrucien, on dresse sa séquinah, on fixe son tablier de protection, on récite ses phrases préparatoires du jour, l'encens sur les charbons, deux bougies qui encadrent le miroir. On s'installe à l'aise sur sa chaise après le salut aux quatre points cardinaux. Là on peut travailler tranquille et serein.
La salamandre a le pouvoir cellulaire de la regénération. Elle est utilisée par les généticiens dans l'espoir de livrer ses secrets. Il est déjà question que l'humain dans un passé très lointain a choisi plutôt la cicatrisation a la regénération a t'il eut raison de ce choix ? je ne sais. Pour l'heure les chercheurs nous présentent des crèmes anti-âge en attendant les crèmes regénérantes.
Amitié et salutation

Bonjour,

Expérience faite aussi pour moi, à de multiples reprises (sans bougies)!
L'image "en supersposition" n'était pas toujours la même : parfois très sympa, parfois très dure, voir effrayante.
Je ne l'ai plus fait depuis un bout de temps, mais c'est vrai que la première fois, c'est très perturbant.
L'intérêt de ce test ???

Bonnes recherches à tous !

bonjour,

C'est quoi la séquinah?

Merci

Citation :

C'est quoi la séquinah?

bonjour Christophe,

comme le dit Dwijas,

Citation :

on dresse sa séquinah

la séquinah est donc une bête sauvage

d'ailleurs, si tu croises en brousse un lion qui t'attaque, c'est qu'i n'a rien bouffé avant toi !

(et oui, c'est rosicrucien, donc un poil hermétique...mais je garantis ce que je te raconte, ayant mon entrée souterraine à Omonville)

bises aux dames

géo

Christophe a écrit:

bonjour,

C'est quoi la séquinah?

Merci

Dwijas a dû vouloir parler de "shekinah" : l'autel placé dans le saint des saint d'un lieu sacré :

Citation :

"A l'origine, un temple était simplement un endroit sur le sol, un lieu réservé à un but sacré ou d'adoration, où hommes et femmes pouvaient se rassembler en vue d'effectuer leurs offrandes et de méditer. C'était le lieu saint. Cela ne recouvrait pas une notion d'édifice, mais plutôt d'un endroit. C'était la coutume d'avoir en ce lieu un point focal représenté par une petite structure ou autel, qui figure la présence de Dieu. Ce point central fut désigné du nom de : Saint des Saints, et l'autel du nom d'Arche ou de Shekinah. Plus tard, lorsque de véritables édifices furent construits, la Shekinah ou l'Arche, furent toujours placés en leur centre, afin de protéger le lieu sacré. C'était l'endroit où, pensait-on, la conscience de Dieu descendait sur le plan terrestre. De là vint la croyance actuelle, que l'on trouve dans la plupart des religions, que partout où l'homme dédie à Dieu un objet, un endroit ou bien une circonstance de la vie, la présence de Dieu y pénètre et les rend saints et sacrés, en vertu de leur consécration."
Ralph M.Lewis, éditions rosicruciennes, 1988