magnétisme ou guerison atlante

vincent a écrit:

ok, mais les soins du corp ne soigne pas forcement l'âme d'une personne s'est beaucoup plus complexe

Si tu as déjà vu la tête d'une personne qui tout d'un coup se sent soulagée, alors tu as la réponse à ta question.

Bien sûr, ce qui amène à çà est complexe puisqu'on soulage un truc que l'âme n'a pas trouvé mieux pour se dire.

On ne pense pas assez en termes de synérgie. On pense en principes, et à mon avis, on n'a pas toujours raison.

vincent a écrit:

je voulais savoir si vous pensez que le soin de l'âme est bien une guerison atlante ou est ce autre chose ? et est se que s'est vraiment bénéfique ou faut il laissez l'âme de la personne tranquille et laissez faire les choses ?

Il y a une forme de soin qui est parfois appelé "Atlante" ou "Egyptien"; il y a plusieurs formules mais disons que dans sa forme essentielle, ce type de soin nécessite au moins deux officiants, un homme et une femme. Lorsque tu parles de soin atlante, parles tu de cela ?

Pour ma part, avant de savoir si un soin d'âme est bénéfique, je me poserais la question de savoir s'il est possible.

Forcément, en tant que musicien, je dirais qu'il y a effectivement des soins de l'âme, mais que je ne pense pas qu'il s'agisse d'une forme quelconque de médecine.

Pour moi c'est plutôt une question de résonnance, l'âme s'émeut à se comprendre, à être exprimée, bref, que sa vérité soit jouée, chantée, peinte ou racontée, si l'âme s'y retrouve, alors elle perd un peu de sa rigidité et se trouve bien aise pour cheminer un peu plus loin que là où elle s'était arrêtée.

C'est ce qui est beau dans l'Art en général, mais il faut bien avouer, qu'au bout du compte, c'est quand même l'âme qui se soigne elle-même, non ?

Car peut-on véritablement intervenir sur l'âme de l'extérieur ? Au point où j'en suis, j'ai tendance à penser que ces interventions sont relatives ou limitées, et que si l'âme a enfouie telle ou telle blessure, il y a de fortes chances pour que le "soin" prodigué rejoigne la blessure et se retrouve à son tour enfoui au même endroit.

L'âme a besoin de prendre conscience. Conscience de ses errances, de ses oublis. Pour que l'âme se libère de ceci ou cela, il faut d'abord faire remonter ceci ou cela à l'existence en conscience.

Pour pouvoir accompagner une âme dans ce processus, il faut réunir plusieurs talents.

En premier, un talent d'amour, car aucune ouverture ne peut se faire dans le jugement ; elle a besoin de "compassion".

Ensuite, il faut avoir une bonne vue pour pouvoir voir ce qui est caché, sans se troubler des apparences ou tomber dans la psycho à deux balles, ou tous ces travers que nous offrent tous ces courants de pensées toutes faites qui n'exigent de nous que d'identifier une case de départ, qui nous donnera une case d'arrivée. C'est propret, pratique, ça peut même faire élégant et rapporter gros, mais ça reste au niveau de sortir un truc d'une boite pour le ranger tout de suite dans une autre ! Bonjour la libération !!!!

Ensuite il faut aussi le talent de le dire avec les mots que l'âme peut entendre. Là, c'est pas gagné non plus.

Enfin, pour que la libération ou la guérison se fasse, il faut aussi faire le deuil jusqu'au bout et disperser les cendres de ces blessures. C'est un accompagnement qui réclame de la patience car l'âme ne peut qu'avancer à son pas et non pas au nôtre.

Mais si on arrive à réunir tout ça, alors je pense qu'on peut commencer à envisager d'exercer.

Sinon, en attendant d'avoir réuni et développé toutes ces qualités, on peut s'entrainer avec les soins du corps dans lesquels le retour est plus immédiat, sans perdre de vue le fait que le corps ne fait qu'exprimer l'âme, avec ses beautés et ses blocages, mais que l'âme aime bien que l'on prenne soin d'elle, même lorsque cela se limite aux bobos de son corps.

Cela peut engendrer une mise en confiance. Le soin du corps, c'est une sorte d'apprivoisement de l'âme après tout.

Mais il faut tellement de talents pour guérir l'âme. Il faut soi-même avoir vécu tant de choses, s'être exhalté et s'être désespéré, s'être effondré et puis reconstruit, avoir connu amour et trahison, espoir et injustice, avoir gagné, avoir eu faim, été maître et esclave, que même avec l'aide des mémoires du temps, suffit-il seulement d'une vie pour réunir tout cela ?

Bonjour tout le monde,
Alors moi comme je suis quelqu’un d’un peu ignare je suis allé voir ce qu’il y avait au sujet des soins atlantes (http://angelsplace.perso.sfr.fr/SystemeAtlantis.htm) et pas une fois j’ai vu le mot âme.
Moi ce que j’en comprends et çà correspondrait plutôt à ma façon de fonctionner, c’est que tout mal être est associé à un effet déclencheur et qu’en appliquant une certaine méthodologie on peut effacer ce point de départ ou tout au moins le faire passer de la case traumatique à la case expérimentation , ainsi on en modère grandement les conséquences sur le plan tant physique qu’émotionnel.
Petite histoire ;
Je fais un soin énergétique et je ressent une blessure sur la jambe du « pas pressé », je vois une fracture et me demande pourquoi elle est toujours aussi présente alors qu’on me donne une idée du temps, une quinzaine d’années, je modifie le ressentis en pommadant avec une intention de paix…bref après le soin on parle avec le garçon (oui c’était un garçon) et je lui demande ce qui c’était passé , il m’explique alors qu’il a eu un accident de la route avec un copain à lui et que ce dernier était décédé lors de cet accident , le problème qui le taraudait toutes ces années , c’est qu’il y avait eu une erreur d’identification et que ses sœurs avaient été informées de son décès à lui alors qu’elles étaient au lycée.
Tout le mélodrame qui s’en était suivi l’avait profondément attristé….alors l’histoire était là , toujours présente mais lorsqu’il me l’a raconta il riait aux larmes parce que lui revenaient pleins d’anecdotes liées à son hospitalisation , qu’il avait oublié , notamment comme le jours où ayant décidé d’aller aux toilettes sans demander de l’aide il était tombé du lit en amenant avec lui la perfusion et tout l’attirail qui va avec dans un fracas de tous les diables , alarmant du même coup les infirmières de tout l’étage, sa sœur qui était là à bien rit aussi et n’a pas manqué de lui signaler qu’elle n’avait encore jamais entendu cette partie de l’histoire.
J’ai eu l’impression que ce drame avait pris un autre aspect.
La notion de musique est toujours présente lorsqu’il est question de guérison , mais c’est pas de la musique comme on l’entend (si j’ose dire) sur ce plan d’existence, çà ressemblerai plus à une onde qui vibrerait à l’infini comme une corde de guitare et qui s’amplifierai jusqu’à l’infinie.
Et là je sais pas vraiment si vous entendez ce que je veux dire.
Quartz

Citation :

c’est que tout mal être est associé à un effet déclencheur et qu’en appliquant une certaine méthodologie on peut effacer ce point de départ ou tout au moins le faire passer de la case traumatique à la case expérimentation , ainsi on en modère grandement les conséquences sur le plan tant physique qu’émotionnel.

parfaitement d'accord avec toi Quartz

gw quand je parle de soin de l'âme je parle des douleurs occasionné par le passé, des douleurs resté sur le corp énergétique, qui ne se sont pas résorbé. Ces douleurs resté par le passé sont souvent matérialisé sur le corps énergétique, et provoque d'autre problème que souvent le corps projette pour que l'on s'occupe du problème passé ; mais se qui se passe s'est qu'on ne le voit pas forcément, on va résoudre le problème présent sans voir se qui se passe en dessous de tout sa.

Je ne sais pas si j'arrive bien à me faire comprendre mais se que je veux dire s'est qu'il faut passer par l'intérieur, par le commencement, pour pouvoir résoudre les malaises présent, si on ne commence pas depuis le début, d'autre mal être apparaitront ailleurs.

Cela dit, je ne suis pas persuadé que la chronologie soit si stricte que ça, parce qu'un traumatisme d'enfance par exemple, c'est quelque part une énergie étrangère dans le sens ou le psychisme qui l'a créé a évolué et ne voit plus les choses ainsi et dans les mêmes circonstances, on ne réagirait probablement pas de la même manière.

Donc, ça renvoir à l'enfant bien sûr puisque ce sont ses peurs à lui qui se sont cristalisées, un enfant qu'il faut appaiser mais avec une attitude d'adulte parce que c'est ce qu'on est devenu. Comprendre l'enfant, c'est un travail en soi. C'est toujours difficile de se mettre à la place de quelqu'un d'autre, et c'est ce qu'est cet enfant quelque part.

Mais bon, avec amour, tout est possible.

Mais on se rend compte qu'il n'y a pas de causalité simple puisque ce qui a terrorisé l'enfant n'est plus à même de faire de même aujourd'hui. C'est juste un petit programme niché dans l'inconscient et qu'il faut faire sortir comme un point noir, ou le pus d'une plaie ... le drain efficace est ce qui est déterminant. Il n'est pas obligatoire de se retrouver en situation, ni de la revivre, même si parfois c'est ça la condition qui permet le lacher-prise, ça ne marche pas forcément à tous les coups, parce qu'il y a d'autres choses qui se sont greffées dessus, ce qui est souvent le cas.

Dans ces cas-là, ce que dit le corps est la version actualisée du programme, et en fait, c'est celle-là qu'il faut traiter et il est bien rare qu'elle n'ait qu'une seule cause.