Père Maurice Montaigut, l'Aromathérapie et les Templiers...

J'ai été contactée par le père Maurice Montaigut, aromathérapeute, magnétiseur, oligothérapeute et praticien en phytothérapie, mais aussi responsable de la Mission Orthodoxe Saint Maurice, faisant partie de l'Eglise Orthodoxe Saint-Georges (au rite primitif des Gaules, juridiction de l’Eglise Orthodoxe Autocéphale d’Europe sous l’autorité du patriarche Sa Sainteté Nicolas 1er)... Rien que ça... Mais enfin bon, il m'a demandé si je pouvais poster ça. j'ai dit oui.

Citation :

L’ Aromathérapie


RAPPEL HISTORIQUE


Nous savons tous que la médecine par les plantes est la plus ancienne du monde. En Asie, un alambic datant de plus de 5000 ans avant notre ère indique que la Chine et l’Inde avaient une maitrise certaine des procédés d’extraction. Les Egyptiens employaient les huiles essentielles pour embaumer leurs morts 4000 avant J.C. Des papyrus médicaux mentionnent nard, cannelle, cèdre, myrrhe, encens dans les traditions d’hygiène quotidienne.

Même si les Egyptiens utilisaient déjà les essences de plantes en vue de conserver les momies, c’est Avicenne qui, le premier, extrait une huile essentielle pure, l’une des plus précieuses, celle de rose. Il s’est appuyé sur des enseignements Perses pour mettre au point l’alambic.



Alors, qu’est-ce qu’une huile essentielle ?


Une huile essentielle ( H.E.) est la fraction odorante volatile extraite des végétaux. Elle peut être extraite de différentes parties : les feuilles (eucalyptus), les fleurs (camomille), l’écorce (cannelle), le bois (cèdre), le zeste (citron). En fonction de la partie employée le nom de l’H.E. diffère : par exemple, l’oranger amer. Sa feuille donne l’H.E. de petit grain bigarade, sa fleur celle de néroli, son zeste celle d’oranger amer. Quel est leur principe actif ? Il faut savoir qu’il y a plus de 200 principes différents dans ne H.E. ; des éthers, des terpènes, des phénols, des cétones, des acétates. C’est l’ensemble qui confère les propriétés.


Les plantes survivent grâce à leurs huiles essentielles. C’est un système de protection très efficace qui leur permet par exemple de séduire les insectes pollinisateurs, ou de se protéger des prédateurs.


Les principaux types de procédés d’extraction sont :

- Soit la distillation des végétaux et entraînement par la vapeur d’eau. La vapeur entraîne les molécules aromatiques travers un serpentin de refroidissement et redevient liquide. L’eau florale ainsi obtenue se sépare de l’H.E., plus légère qui reste à la surface et peut être recueillie facilement.

- Soit par extraction, pour les agrumes par exemple. Les poches sécrétrices sont brisées mécaniquement par pression à froid.


Les coûts de production et le faible rendement ( 10 kg d’origan = 30 g d’H.E. peuvent tenter les falsificateurs. Pour se prémunir contre les pratiques frauduleuses, il est indispensable de contrôler la qualité.




Les principaux points de contrôle sont donc :

- L’origine géographique

- L’espèce botanique. La dénomination latine précisant les genre et l’espèce, parfois la variété, évite les confusions. Par exemple la lavande : genre lavandula et espèce offficinalis ou vera ou hybrida.

- Les caractères organoleptiques : couleur, odeur, densité, indice de réfraction

- Le profil chromatographique qui constitue la véritable « emprunte digitale » de l’H.E. permettant d’en connaître avec précision sa composition et de vérifier sa spécificité biochimique ou chémotype. En effet, en fonction du pays, du sol, du climat, de l’altitude, une même plante élabore des essences différentes aux propriétés bien déterminées.

- Ces contrôles permettent de garantir des H.E. 100 % pures et naturelles, non déterpénées.. En effet, les terpènes, sans grand intérêt aromatiques sont indispensables à la stabilité, sinon il faut ajouter des conservateurs.


Les précautions indispensables :

- Utiliser exclusivement des H.E. 100 % naturelles, jamais d’huiles synthétiques appelées par exemple huile parfumée, huile odorante.

- N’ achetez jamais d’H.E. dans un flacon plastique, mais uniquement en flacon verre teinté.

- Préférez les petits flacons aux plus grands

- Ne laissez pas vos H.E. à portée des enfants ou des animaux

- Pas d’H.E. chez la femme enceinte pendant le premier trimestre de la grossesse

- Prudence chez les mamans qui allaitent ainsi que chez les enfants en dessous de 6 ans

- Ne pas les utiliser de façon prolongée, même à faible dose. Prévoyez des fenêtres thérapeutiques : en général «3 semaines oui, une semaine non ».

- Si vous suivez un traitement homéopathique, prenez vos granules bien avant les H.E. Pour les patients hyperthyroïdiens pas d’H.E. d’ail qui stimule la thyroïde tandis que celle de fenouil freine son activité.

- Les personnes épileptiques doivent éviter les H.E. de fenouil, d’hysope, de sauge et de certains romarins.




En conclusion :

. Avant de vous présenter quelques petites recettes quotidiennes, il faut se rappeler que les H.E. sont très puissantes. Mal employées, utilisées à mauvais escient ou à des doses inadaptées, elles peuvent être responsables d’effets secondaires. Ne jouez pas à l’apprenti sorcier. Il est déconseillé de se lancer dans ses propres mélanges. Ne vous fiez pas aux premières informations péchées sur internet

Citation :

Madame, Monsieur


Plus qu’un effet de mode, l’usage des Plantes Médicinales et Aromatiques à fin thérapeutique traduit une volonté de retour profond vers la Nature.

Pour que vous puissiez mieux en faire connaitre les bienfaits incontestables à vos clients et amis, je vous propose :



-« MES SECRETS DE BONNE FAME » (de bonne renommée, même étymologie que fameux), une conférence sur la phytothérapie, les huiles essentielles, la diététique et les oligo-éléments.

-Des réunions d’information sur la Gestion du stress ou mes Conseils-minceur

J’ai eu la chance d’approfondir mes connaissances sur l’alchimie des plantes en travaillant avec de nombreux professionnels. Comme vous je crois à ces thérapies naturelles comme un certain art de vivre.



Concernant un tout autre sujet, je propose aussi des conférences sur les Templiers, leur histoire, leur légende.


Je suis à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et vous prie d’agréer, avec mes prières, l’assurance de mes dévoués sentiments.


EGLISE GALLICANE CATHOLIQUE ET APOSTOLIQUE
Diocèse de Reims

Père Maurice Montaigut
30, route de Périgueux
24100 LEMBRAS

Tel : 06.21.84.18.76
Courriel : abbe.Montaigut@laposte.net

Citation :

J’ai eu la chance d’approfondir mes connaissances sur l’alchimie des plantes en travaillant avec de nombreux professionnels. Comme vous je crois à ces thérapies naturelles comme un certain art de vivre.

De mon point de vue, l'alchimie des plantes ou spagirie, ne se limite pas aux HE.
S
Les HE représente le soufre des alchimiste qui Dans un premier temps séparent et purifient les 5 constituants, afin de les réunir ensuite en leur quintessence.
La distillation nous fournit un deuxième élément qui est l'hydrolat,
La macération dans l'alcool, nous donne le mercure de la plante.
Enfin la coction nous procure les sels qu'il va nous falloir séparer en sel soluble et sel insoluble (queue du Dragon)

Ensuite, au moment propice, sous les influence de la Lune et de la Divine providence, nous devrons réunir les cinq éléments afin d'obtenir l'élixir...

Pour avoir plus de détails, il est possible de lire les livres de mon maître, Tony Cèron, dont je fut un piteux élève... Leur lecture nous permet de comprendre que tout cela est relativement compliqué et que la tradition alchimique des "envieux" n'a pas disparu.

la seule façon d'exprimer le processus alchimique que j'ai compris est celui qui est écrit sous la forme hermétique, et j'ai du mal à croire que les textes alchimiques doivent être pris au premier niveau.

leo67000 a écrit:

la seule façon d'exprimer le processus alchimique que j'ai compris est celui qui est écrit sous la forme hermétique, et j'ai du mal à croire que les textes alchimiques doivent être pris au premier niveau.

Chacun prend à son niveau.
Le mieux est de tout oublier et de ne rein passer à la moulinette du mental inférieur.

[Mode H.S. On]

Serge Queudeville a écrit:

...
Pour avoir plus de détails, il est possible de lire les livres de mon maître, Tony Cèron,...

Pauvre Toni! je ne sais pas s'il serait mort de rire ou fâché que tu l'appelles maître. ce qui est certain c'est qu'il n'apprécierait pas du tout (se définissant lui-même comme un "gnou" un "allumé") et cela sans parler du fait qu'en le nommant ainsi tu rends un très mauvais services tan à lui qu'à la spagy car si tu avais bien écouté (où bien lu) ce qui est dit sur l'entité des Esprits, tu saurais que ce comportement crée des égrégores ce dont n'a vraiment pas besoin le spagyriste. De grâce, évite de parler comme ça de quelqu'un. il est humain comme toi et moi et comme tel il est sur son chemin comme toi tu devrais être sur le tien pas sur le sien. ne lui donne pas un rôle qu'il n'a pas et dont il ne voudrait de toute façon pas. écoute de toute tes oreilles mais surtout, Potasse, expérimente, comprends et travaille.

il est vrai que ses livres sont très intéressants de même que ses formations. ceci dit ses livres, s'il sont assez limpides pour qui a suivi ses formations ou qui se débrouille bien dans l'Art, sont difficiles à lire (où pour le moins indigeste) pour la plupart des néophytes.

puis c'est un détail dont il se fiche certainement mais c'est "Toni Céron" .

pour ceux qui veulent en savoir plus, il a aussi trois sites:

http://www.elixalp.com/ pour les élixirs et le matos...
http://www.spagytherapie.com/ pour présenter la Spagy et les formations...
http://www.coldufeu.com/ sa maison d'édition...

je veux bien vous faire un petit sujet sur la spagy histoire d'illustrer mes propos actuels qui peuvent parraîtres bien obscurs.

[Mode H.S. Off]

Merci pour l'info Madame Dulac.

j'apprécie aussi les mises en gardes. il est toujours bon de rappeler qu'elles ne sont pas anodine.

leo67000 a écrit:

la seule façon d'exprimer le processus alchimique que j'ai compris est celui qui est écrit sous la forme hermétique, et j'ai du mal à croire que les textes alchimiques doivent être pris au premier niveau.

c'est certain que si tu veux du sang de dragon et que tu dois d'abord trouver un dragon, c'est mal barré
pareil si tu dois attraper un corbeau pour lui couper la tête. tout cela est allégorique pour décrire des phases où des solutions.

mais une fois que le texte est compris, je ne vois ce qui pourrais poser problème...

le principe du béton géopolymère expliqué par le professeur Davidovits fait d'ailleurs partie de ces techniques alchimiques si on retourne à l'origine du système.

d'autres chercheurs ont utiliser les processus alchimiques pour, par exemple, créer une énergie libre. c'est le cas d'Albert Cau qui à tout écrit dans un livre:



et pour ceux qui comprennent l'anglais, il met à jour ses découvertes sur son site: http://albert.cau.free.fr/English/Lab.html


il y a nombre de domaines qui découlent plus ou moins de l'alchimie. par ailleurs, l'alchimiste à besoin de la connaissance géobiologique et pour construire le labo, de géometrie sacrée pour ce même labo; d'astrosophie pour mesurer le temps idéal de cueillette, d'oeuvre, etc

je pense qu'a une époque, alchimistes et compagnons c'étaient pareil où tout du moins de la même fraterie.

ayant vu aussi des "scories" (ça ressemble à du verre coloré) de travail alchimique de Daniel Fleury, je me demande aussi dans quelle mesure, ce n'est pas cela qui était utilisé par les Compagnons-verriers qui faisaient les vitraux au temps des Cathédrales. ceci n'étant qu'une hypothèse que j'avance sans savoir.

moi, je pensais au processus qui permet à la création de la Kundalini...

je ne connais pas suffisamment cette partie que pour pouvoir t'en parler. mais si c'est comme dans la spagy ou l'alchimie, tout est allégorie.