Article Web : Points de passage

Sujet: Article Web : Points de passage 2006-10-07, 13:06

Un article tiré du site ghostlab.org:

http://www.ghostlab.org/article.php3?id_article=43

Passionnant.... Je vous recommande !

Sujet: Re: Article Web : Points de passage 2007-06-15, 00:47

Citation :: Observations : Les barrières cognitives du cerveau sont un mode de défense restrictif face aux fluctuations électromagnétiques de notre environnement. C’est un principe de viabilité de la Nature. Il existe cependant des lieux caractérisés par une puissante activité géomagnétique, qui dissolvent les barrières de notre cognition habituelle, et laissent transparaître le Réel dans toute sa complexité.

Ainsi il convient d’observer toutes les informations et les indices que nous présente un lieu à travers sa morphologie géologique, la croissance des plantes, le comportement animal et les changements climatiques.

Une bonne investigation se déroule sur un temps relativement important, afin de s’empreindre de « l’ambiance » du site d’exploration. Observer le cycle solaire et lunaire permet a la fois de mener une investigation de jour comme de nuit. Il est une certaine heure de la nuit ou les choses ne sont plus vraiment les mêmes. C’est dans ces moments que l’on peut percevoir le mieux la « teinture » du site que l’on explore. L’impact physiologique et comportemental de la nature du sol sur le Vivant semble être évident. Les anciens connaissaient cette science et utilisaient avec ingéniosité les propriétés cosmo telluriques de la Nature pour des besoins énergétiques. Les lieux sacrés formeraient-t-ils des dispositifs cosmo telluriques permettant à la fois de favoriser des états altérés de conscience et de « concilier » les forces naturelles en présence ?

A-t-on affaire à des ascenseurs ou à des carrefours cosmiques ?

On retrouve cette science un peu partout dans le monde à travers plusieurs traditions qui semblent avoir une même racine traditionnelle. Aussi n’y a pas de pays ou de civilisation qui ne possède ses vallées sacrées et lieux insolites.

Les civilisations paléolithiques ont développé des réseaux de pierres levées qui plus tard furent repris par d’autres civilisations. Ces civilisations originelles possédaient telles une sensibilité plus accrue face aux paysages électromagnétiques ou détenaient telles ce savoir d’une source antérieure ?

L’Egypte à bâti ses temples sur une connaissance secrète et précise des courants telluriques et des dispositifs cosmo telluriques du lieu de leur élévation. De même pour la civilisation Maya, Olmèque et Aztèque. Les Hébreux connaissaient les vertus curatives de l’eau à des fins réharmonisatrices et énergétiques. La tradition Druidique à élevé des pierres. Les Templiers qui ont héritiers de l’art des bâtisseurs ainsi que de la tradition Kabbalistique et de la sagesse soufie, ont bâti leurs commanderies sur des emplacements spécifiques à nature cosmo tellurique. Quasiment tous les lieux de cultes chrétiens jusqu’à la période Romane se sont implantés sur des anciens sites païens antérieurs érigés en des emplacements spécifiques, dont la nature dépasse les nécessités stratégiques ou fonctionnelles.

Il y a aussi des vallées secrètes que l’on ne fréquente pas. Ces lieux sont entourés de crainte et de mystères. Les animaux refusent de s’y rendre. Les oiseaux n’y portent pas leur chant. Aucune plante n’y pousse et le vent a d’étranges murmures. Les tempêtes du désert du Sahara déblayent pour un instant des cités fabuleuses endormies dans l’oubli du temps. Il y a des vallées ou l’on disparaît sans laisser de traces, que les autochtones connaissent bien. Telle cette mystérieuse vallée appelée « Vallée de la Disparition » près du Lac Victoria, ou certaine zones interdites du désert de Gobi.

Il existe des lieux enchantés ou le temps ne s’écoule pas comme ailleurs. On y respire un air d’éternité et pour un instant on retrouve le paradis perdu de nos légendes. D’autres ou l’air se fait dense et lourd et où la nature devient menaçante.

Black Out

Ou en sont les recherches actuelles sur ces points de passage ?

Ces recherches semblent « occultées » pour plusieurs raisons.

D’une part la découverte et le recensement de ces lieux pourrait conduire à des découvertes mettant en péril les fondements des civilisations contemporaines d’un point de vue historique et religieux. Certaines archives ou vestiges pourraient avoir un impact révolutionnaire sur l’ordre social actuel et de ce fait déstabiliser toute la cohérence consumériste que l’on vise a nous faire adopter. Que se passerait t’il si l’on rendrait manifeste le fait que la Terre connait des changements cataclysmes périodiques qui ont provoque la disparition de civilisations antérieures parfois plus développées que la nôtre ? Les signes pourtant sont là. Il suffit de les lire dans la pierre ou dans les calottes glacières.

D’autre part les recherches géologiques et telluriques sont monopolisées par les industriels à la recherche de matières premières comme l’énergie fossile, les filons métallifères ou l’uranium. Parfois ces emplacements vont de pair avec les points de passage.

Les militaires semblent particulièrement intéressés par ces « points chauds ». Il y a t’il un lien avec les lignes de forces du champ magnétique terrestre ?

Il semble que oui si l’on considère l’installation « expérimentale » HAARP, les militaires utilisent les lignes de force du champ magnétique terrestre dans cette région de l’Alaska pour favoriser les communications trans-ionosphériques a hautes fréquences, indispensables dans beaucoup de systèmes de communication, de surveillance ou de capteurs distants.

La question est de se demander si nos technologies de communication et de l’information ont un impact sur l’équilibre tellurique et énergétique planétaire. Cette question est capitale car il en dépend non sûrement de notre survie en tant qu’espèce mais de celle de tout le règne du Vivant. Ne serait t’on pas en train de perturber un équilibre subtil qui va au delà de l’émission des gaz responsables de l’effet de serre ? Ou plutôt cet état de modification est t’il programmé, délibéré ou est ce la conséquence de la folie aveugle humaine ?

Pourquoi les centrales nucléaire européennes sont t’elles placées sur des points telluriques ? Est-ce pour optimiser le rendement de l’énergie nucléaire (30% du potentiel attendu) que l’on utiliserait ces emplacements ?

Sans doute que les transformations délibérées qui s’opèrent favorisent la constitution d’un corps électromagnétique artificiel, l’électrosmog planétaire, sans lequel les performances a demande croissante de nos technologies de communication et d’information seraient entravées. Par le passé, pour terrasser le dragon on levait une pierre ; de nos jours on élève des antennes et des réseaux électriques. Mais le jour où ce dragon tellurique se réveillera de son sommeil aurions nous encore perçu le message des étoiles ?

Autres Mondes

Les légendes anciennes parlent d’autres mondes, des mondes parallèles qui se situent sur d’autres dimensions ou états vibratoires. Ces modes s’entrecroisent avec notre monde en des lieux précis, des lieux vortex. Ces vortex peuvent être « négatifs » c’est a dire hostiles à toute forme de Vie ou « positifs », bénéfiques. On pourrait se demander si ces lieux, ces « royaumes » ne sont pas simplement en nous et s’entrouvrent dans des conditions cosmo telluriques particulières. Dans ce cas il y aurait une étrange particule dans notre cerveau qui serait inter connectée avec des réalités insoupçonnées qui n’attendent qu’un élément « favorable » pour se manifester. En tout cas c’est dans ces points de passage que l’on observe le plus souvent les représentants de la Tradition Populaire. Ces êtres semblent avoir évolué avec le temps ou plutôt leur représentation se calque avec la représentation inconsciente de notre époque contemporaine. Là où l’on percevait au détour d’un bosquet des lutins et des gnomes, ou l’on entendait les chants des ondines et le rire des elfes, l’on perçoit de nos jours des OVNIS et des extraterrestres (d’ailleurs conformes aux représentations cinématographiques et populaires actuelles). Notre inconscient et l’inconscient collectif évolue aussi. De nouvelles formes pensées prennes naissante dans les méandres de notre esprit.

Que ces êtres soient véritables ou qu’ils soient le fruit de notre imagination, cela n’explique pas le mystère du phénomène. Pourquoi certains lieux favorisent des états de conscience qui conduisent a entrer en communication/communion avec eux ? Qu’ont à nous transmettre ces formes pensées cohérentes ?

Synchronicité

La syncronicité implique l’établissement d’un rendez vous avec le monde, l’acquisition d’un langage symbolique. Le Réel semble en effet respirer en ses rythmes subtils que l’esprit poétique se plait a reconnaître. Sans doute ce language intuitif est la source de tous les languages. La syncronycité est fractale et multi-dimentionelle. Elle concerne une intéractivité complète de l’ésprit avec la complexité des phénomènes du Réel.

La synchronicité cohérée peut alors entrer en phase de résonance. Cette information est transmutatoire. La prédisposition d’un sujet a ouvrir les portes de la perception afin de sensibiliser son rapport à la synchronicité du monde est un élément favorable a l’approfondissement des forces et des états qui constituent notre inconscient. Par delà cette forme proto-communicatoire le dialogue avec l’inconscient collectif devient possible. Chaque évènement, rencontre où attitude de vient autant d’indices dans le jeu de piste de l’inconscient collectif. Un évènement n’intervient pas par hazard. Chaque évènement est le fruit d’une cristallisation progressive d’influences mentales psychiques et émotionnelles qui émergent à la surface du Réel. Une rencontre pourrait se résumer de la même manière et possède sa propre logique et cohérence. L’autre est toujours le reflet d’une part de nous mêmes.

Cette syncronicité se produit également lorsqu’on explore de lieux naturels. Si l’on est attentif a la pléthore d’informations et de pistes que nous offre la Nature, on à l’impression d’ètre guidé. Parfois ces « impressions » peuvent aussi nous perdre. Il est des lieux où l’imagination s’emballe et l’on peut sentir la présence d’entités conscientes qui nous observent. On a toujours l’impression d’être arrivé au bon moment au lieu d’un rendez-vous.

Les anciens utilisaient les éléments synchrones de la Nature pour établir des systèmes divinatoires ou oraculaires. Ils savaient que toutes choses sont reliées et que par conséquent, le vol d’un oiseau ou les entrailles d’un animal sacrifié, pouvaient réfléchir soit une situation présente soit une situation à venir dans un futur proche.

Terra Incognita

Et s’il y avait une relation entre la terre et notre cerveau ? Autrement dit pourquoi ne pas considérer un rapport entre notre conscience et d’une conscience globale d’ordre planétaire ou cosmique ? Le plus dérangeant pour notre rationalité c’est que devant cet état de fait nous ne pourrions n’ètre qu’un rêve, une projection d’un univers holographique inter connecté et inter connectable dans tous ses constituants depuis l’état le plus dense (la matière que nous connaissons) jusqu’aux états les plus subtils (la concientisation de la conscience).

Dans quelle mesure l’arbre résonne en moi et la foudre relie mes interconnexions neuronales ?

Notre conscience semble nous jouer bien des tours. Aussi parce que nous le voulons bien. Il est plus aisé de vivre dans un flux spatial et temporel dans les carcans protecteurs de nos idées préconçues que d’effectuer le grand saut.

Notre meilleur allié pour ce faire, et notre pire ennemi se tapit à la fois dans nos certitudes que dans les automatismes de notre inconscient. Développer un regard neuf sur le monde, transfigure le Réel. Transfigurer le Réel c’est quelque part se transfigurer soi-même. La transposition dans cette réalité passerait sans doute par un mécanisme de personnification, d’appropriation des éléments du Réel dans une pensée cohérente.

Pour cela il y aurait des points de convergence ou le « haut » devient similaire au « bas » dans une jonction cohérente. La cristallisation qui en découle est transmutatoire. Elle est de nature initiatique.

Les points de passage invitent a l’exploration de soi dans une logique évolutive. Les reconnaître et les respecter est un signe de respect non seulement d’ordre planétaire mais aussi personnel devant le mystère de l’existence. Nous ne somme que de passage dans ce monde et ce monde nous montre des bribes furtives, dans les élans de notre esprit, d’une réalité inconnue mais perceptible jusqu’aux tréfonds de nos cellules et de notre conscience.

C’est ici que le terme d’ovni devient obsolète. Il s’agirait de plutôt de dire Objets Pensés Non Conceptualisés.

Sujet: Re: Article Web : Points de passage 2007-06-15, 00:50

Suite :

Citation :: Nous percevons (perce voir) notre réalité à travers notre sensorialité aussi bien qu’à travers notre conscience.

Nos organes de perception bien que limités à une bande restreinte du spectre électromagnétique détectent des fréquences qui correspondent aux rayonnements infrarouges (calorifiques), au spectre visuel (couleurs) et auditif (bande hertzienne audible). Nos cellules sont réglées sur des rythmes et variations cosmiques et sont sensibles à des bandes du spectre électromagnétique dans la gamme des très basses fréquences et très hautes fréquences. Le cerveau génère (ou reflète) des fréquences que l’on retrouve dans la nature et qui interagissent avec. Notre codage génétique inter communique avec le codage génétique global de l’ensemble du vivant.

Quelque part nous pouvons affirmer que nous faisons corps avec notre univers.

Et nous faisons tellement bien corps avec notre terre que nous ne pouvons pas la quitter. Notre charpente biologique ne peut s’adapter longtemps aux conditions de l’espace extraplanétaire , ou plutôt se soustraire à la proximité géomagnétique et à la protection ionique du bouclier magnétique planétaire.

Mais qu’en est t’il de notre conscience ?

Si l’on considère la constitution d’un univers en « n » dimension, en paliers, états d’existence et potentialités, notre conscience serait une sorte d’ascenseur. Un ascenseur vibratoire dont les étages servis possèdent leur couleurs, leurs sonorités et leur odeurs propres. La conception d’un univers multiple (multivers) holographique ou inter connexionnel peut certes s’explorer par l’approche différée de la mathématique, mais l’est particulièrement par la conscience directe. Aussi notre rapport au monde, notre position d’observation et notre facteur d’intentionnalité transfigure la réalité.

De même notre conscience, sensible et manifeste à travers les mystères irrésolus de nos fluctuations cérébrales semble aussi être tenue, à l’instar de la situation de dépendance de notre charpente biologique à l’environnement planétaire, par l’emprise de notre mental.

C’est comme si le mental constitue une prison cognitive qui nous prive de la liberté de la conscience. La nature de ce mental en tant qu’agent réducteur est suggéréé dans la tradition gnostique. La question de la nature invasive de notre mental à travers une programmation (ou une re-programmantion) de notre ADN par une influence extérieure dépend avant tout de la considération de l’ADN en tant que porteur biologique de la conscience. Mais il se peut que le mental soit un implant en soi, qui parasite aussi bien conscience de la programmation de l’ADN que la conscience propre, la nôtre, qui cohabite avec cette dernière.

Tout ceci porte à croire que le royaume intérieur de notre conscience est l’objet d’un enjeu capital, puisqu’il s’agit de l’enjeu de la liberté et du libre arbitre.

De ce fait, l’exploration des paysages électromagnétiques et des limites cognitives va non seulement constituer un facteur d’indice de liberté relative de la conscience dans les plans extérieurs et intérieurs mais aussi va porter une lumière interfacielle sur l’interaction ces plans sur la conscience et de cette dernière sur leur mécanismes opératifs.

HCS http://www.ghostlab.org/rubrique.php3?id_rubrique=23

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