LE VIEUX MARINUn vieux pêcheur à la retraite,malade et fatigué, habitait chez son fils, sa belle-fille et leur fils de 8 ans.
comme le voulait la tradition ne ce temps là.
Les mains du vieille homme, tremblaient, ce durcissaient par l'arthrite, pour pouvoir donner le meilleurs à son fils. Sad
sa vue n'était plus très bonne, force de démailler les filets, les coudre, etc ...
ce qui lui rendait la tâche très pénible quelque fois?
Surtout, à l'heure du repas. car tout comme un enfant, sa maladresse était grande.
Une peu de nourriture sur le plancher...Une assiette pleine qui tombe par terre et se brise en éclat
un verre de vin renversé sur la nappe neuve.
Un matin, la belle-fille dit ç son mari : " Il faut faire quelques choses avec ton père! Je suis fatigué de devoir tous ramasser derrière lui, il ne ce passe pas une journée sans qu'il y ai un problème à table !
Alors, mon père a installé une petite table dans un coin de sa chambre. Et lui a dit :
" c'est là, que tu mangeras désormais
Au moins, pendant le repas, tu pourras manger en toute tranquillité. tu sais que tu es maladroit, alors nous t'achèterons une assiette de bois et un verre en plastique."
Grand-père lui a répondu :
" oui, tu as surement raison, là au moins, je ne vous ennuierais plus ! "
Quand arrivait l'heure des repas, je passais devant la chambre de grand-père...Des larmes coulaient sur ses joues, et il acceptait tout cela en silence.
un soir, avant le soupé, mon père me regardait, il a dù penser que je m'amusais dans l'atelier.
Il me dit:
"Que fait tu là fiston ?"
Je lui répondis;
" je fabrique un jolie bol en bois, pour toi et maman...De cette façon, lorsque vous serez trop vieux, et maladroit pour manger à table avec moi , je vous mettrais dans votre chambre. "
Le père, incapable de prononcer un seul mot, il pensa...
On oublie trop souvent que nous aussi, nous vieillirons un jour...Que faire ...? Et il n'a pas pu fermer l'œil de la nuit.
Le lendemain matin, en se réveillant, il raconte toute l'histoire a sa femme.
et lorsque l'heure du déjeuné arrive, il rpis son père par la main, et le fi d'assoir avec eux.
Cette fois-ci, les larmes de mon grand-père coulaient sur ses joues, je crois bien que c'était des larmes de bonheur.
Nous sommes tous sur un navire, qui nous même vers notre destinée, à nous, de hisser les voiles, vers le bon coter du vent.
quant ons laisse parler son coeur plutôt que la raison, pas besoin de choisir ses mots ou ses gestes...
Le cœur entend bien mieux que les oreilles !!
En laissant parler son cœur, il ne peut y avoir que du bonheur
En laissant parler l'amour, il ne peut y avoir de retour .
En laissant parler son âme, de joie, ont me peut que laisser couler les larmes.
Je vous embrasses tous
je vous aime
teckaël