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 Pendule et recherche scientifique

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Eole
Pendule de feu
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Eole


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MessageSujet: Pendule et recherche scientifique   Pendule et recherche scientifique Empty2010-01-29, 21:08

Tom C. Lethbridge, l’archéologue mentionné plus haut (et qui est devenu par la suite Directeur des Fouilles de la Société des Experts en Antiquités de Cambridge, et Directeur du Musée d’Archéologie et d’Ethnologie de l’Université ), a écrit de nombreux excellents ouvrages formant un ensemble considéré comme l’une des plus fascinantes collections jamais compilées de comptes rendus de recherche dans le domaine du paranormal.

Mais il était fasciné par la radiesthésie. Au début des années 1930, lui-même et un autre archéologue étaient à la recherche de sépultures Viking sur l’île de Lundy dans le détroit de Bristol.
Après avoir trouvé ce qu’ils cherchaient, ils avaient du temps à perdre en attendant le ferry de retour, et ils décidèrent de se livrer à quelques expériences de radiesthésie, domaine auquel Lethbridge s’intéressait depuis quelque temps.
L’île de Lundy est parcourue en tous sens par des bourrelets de roches volcaniques extrudées au travers de l’ardoise, et Lethbridge voulut voir si une baguette de sourcier lui permettrait de les localiser.
Il demanda donc à son compagnon de lui bander les yeux et de le conduire, tandis que luimême tenait entre les mains une baguette fourchue de noisetier. A chaque fois qu’il passait sur un bourrelet volcanique, la baguette de noisetier se tordait violemment entre ses mains.

L’ami portait un magnétomètre très sensible, et pouvait vérifier immédiatement si Lethbridge localisait correctement les bourrelets de roche volcanique.
Lethbridge avait réalisé que, tout comme l’eau courante, la roche volcanique possède un faible champ magnétique. Il avait écrit à propos de la radiesthésie que “la plupart des gens sont capables de faire de la radiesthésie à condition de savoir comment.
S’ils n’en sont pas capables, c’est qu’il y a probablement un défaut dans le système électrique de leur corps".
Cette remarque nous fait nous demander s’il n’y a pas des personnes dont le système électrique personnel est extrêmement puissant et développé, et si de telles caractéristiques ne pourraient pas être transmises génétiquement.

Le succès de Lethbridge dans sa recherche de roches volcaniques fut le point de départ de ses investigations sur d’autres mondes. Des objets cachés ne pouvaient pas rester dissimulés quand Lethbridge se promenait avec ses bâtons, baguettes, ou pendules. Il semblait n’y avoir aucune limite à la détection par ces moyens.
Il avait prouvé, à sa complète satisfaction, que non seulement la radiesthésie “marchait”, mais encore qu’il s’agissait d’une “affaire mentale”: la baguette ou le pendule étant connecté d’une quelconque façon au mental de la personne qui la/le tenait.
Les résultats obtenus par Tom Lethbridge n’étaient pas seulement exacts, mais aussi reproductibles, et il trouva que les réponses paraissaient dépendre de vibrations de fréquences variées.

La longueur d’onde de l’eau, par exemple, était différente de celle du métal.
Son instrument principal devint le pendule, et il trouva que la longueur du cordon du pendule était déterminante.
Il était capable de détecter non seulement des minéraux, mais aussi des choses abstraites comme la colère, la mort, la tromperie, le sommeil, les couleurs, les genres (mâle ou femelle). Après une longue série d’expériences par essais et erreurs, il rédigea une table de mesures très précises montrant, par exemple, qu’une longueur de 22 pouces (55 cm) révèle l’existence d’argent ou de plomb, tandis que le fer demande une longueur de 32 pouces (80 cm), mais pour le soufre il n’en faut que 7 (17,5 cm).
Plus étrange encore, le pendule réagit à différentes émotions et attributs, avec des longueurs différentes: pour les éléments féminins la longueur du cordon doit être de 29 pouces (72,5 cm), pour les éléments masculins elle doit être de 24 puces (80 cm), qu’il s’agisse d’objets ou de restes humains ou animaux.
Les détails de ses expériences sont absolument fascinants.

Cet homme à l’esprit ouvert et extrêmement instruit avait conscience que ses méthodes et découvertes seraient regardées avec méfiance par de nombreuses personnes. Il écrivit un jour: "Il est impossible que cela soit imaginaire. Si l’on peut utiliser un pendule pour savoir à un ou deux pouces près où se trouve quelque chose qui est caché sous de la tourbe vierge, et faire cela devant témoins, pour aller ensuite à l’endroit indiqué par le pendule, ôter la tourbe, creuser le sol et trouver l’objet en question, si l’on peut faire et refaire ces opérations avec un succès pratiquement assuré à chaque fois, alors ce ne peut être de l’imagination, ni de la tromperie, ni autre chose de ce genre.

Il s’agit d’une expérience scientifique, même si elle n’est pas raffinée”.
Peut-être que la raison pour laquelle certains n’acceptent pas la radiesthésie est que celle-ci est incroyablement simple.
Il est possible de fabriquer sans aucun frais, un instrument qu’aucun équipement coûteux ne peut égaler. Mais, répétons-le, Lethbridge souligne que tout dépend de l’opérateur.
Lethbridge s’est trouvé confronté à un monde très étrange - — "bien plus étrange, je pense, que n’importe quel produit de la physique, de la botanique ou de la biologie"— , et il a écrit à propos des millions de cônes de force qui entourent chacun d’entre nous dans notre habitation ou dans nos cours, et qui peuvent être contactés instantanément par quelque chose qui se trouve dans “notre propre champ d’énergie”.

Cela est beaucoup plus difficile à comprendre que les molécules, atomes et électrons, dit-il, parce que nous avons été éduqués à accepter ceux-ci pour “argent comptant”.
(Ainsi que nous l’avons noté précédemment, si l’infrastructure de notre civilisation devait être détruite, et qu’une centaine d’années plus tard il nous fallait décrire, si nous devions essayer d’expliquer à une personne, les théories de la radio et de la télévision, cette personne serait dans l’impossibilité de comprendre.
Cela semblerait être de la magie).

D’où vient le pouvoir de travailler au pendule?
Lethbridge pensait qu’il pourrait s’agir de quelque chosed’invisible et d’intangible, une partie de nous-mêmes qui en sait bien plus que nous. S’agit-il du mental, de l’esprit ou de l’âme? S’agit-il d’un champ électromagnétique ou psychique? De quelque chose en rapport avec une
dimension supérieure? Il a sué sang et eau sur cette question et a admis qu’il n’était pas sage assez que pour arriver à une conclusion définitive, à part l’idée que les anciens en savaient beaucoup plus que nous actuellement.

Quoi qu’il en soit, Lethbridge a fait une quantité impressionnante de travail expérimental dans le domaine de la radiesthésie, et ses résultats méritent l’attention de tout chercheur sérieux qui étudie les réalités les plus profondes de notre monde.

Tom Lethbridge, après avoir fait de nombreuses expériences, était arrivé à la conclusion qu’un pendule de radiesthésie peut réagir à différentes substances, et qu’allonger ou raccourcir le cordon permettait d’ “accorder” le pendule à une longueur d’onde particulière.
Lethbridge passa des jours et des jours à tester différentes substances. Il découvrit que la longueur d’onde de l’argent est la même que celle du plomb: 22 pouces (55 cm).
Les truffes et le bois de hêtre réagissent à une longueur de 17 pouces (42,5 cm).
Cela signifiait qu’il devait y avoir quelque chose d’autre qui puisse permettre de différencier ces objets “appariés”.

Après d’autres essais, Lethbridge découvrit que ce n’était pas seulement la longueur du cordon qui était importante, mais aussi le nombre et la direction des révolutions.
Pour du plomb, le pendule tournait 16 fois, et pour de l’argent, 22 fois. Il se rendit compte que la Nature paraissait avoir un code réellement merveilleux et infaillible pour tout identifier.
Et nous commençons à entrevoir aussi que les anciens devaient savoir cela et qu’ils ont peut-être même essayé de nous transmettre ces connaissances par l’intermédiaire des mythes et des légendes. (Il devient de plus en plus évident que “les petits rituels et autres billevesées magiques” ne permettent pas de résoudre les mystères.

Mais continuons à suivre Lethbridge dans des spéculations encore plus remarquables).
Grâce à de nombreuses expériences, Lethbridge établit que la “fréquence” de la mort et de la colère violente était à 40 pouces (un mètre). Et il découvrit que cette longueur est aussi la fréquence du froid et du noir.
En effet, les couleurs ont des fréquences. Le gris est de 22 pouces (55 cm), ce qui n’est pas surprenant, puisque le gris est également la couleur de l’argent et du plomb.
Pour le jaune c’est 29 pouces (72,5 cm) et pour le vert: 30 pouces (75 cm).
Après des mois d’expériences, Lethbridge avait fini de mettre au point sa table des fréquences, et découvert que 40 pouces (90 cm) représentaient une sorte de limite.
Toutes les substances simples qu’il avait testées correspondaient à des longueurs de zéro à 40 pouces.
C’est alors qu’il découvrit quelque chose de curieux: le soufre réagit à un pendule dont le cordon est de 7 pouces (17,5 cm); s’il allongeait le cordon du pendule jusqu’à 47 pouces (117,5 cm), le pendule réagissait encore au soufre, mais pas directement au-dessus de cette substance. Il n’y réagissait que faiblement sur un côté.
Il se rendit compte alors que cela était vrai pour tout ce qu’il avait testé et qui réagissait à plus de 40 pouces: il y avait réaction, mais seulement sur un côté.
Il remarqua encore une autre chose étrange: au-delà de 40 pouces, il n’y avait pas de fréquence pour le concept de temps.
Le pendule ne réagissait tout simplement pas. Lethbridge réalisa qu’il mesurait en fait une autre dimension.
Cependant, quand il allongea le cordon du pendule à 80 pouces (2 mètres), il y eut une réponse à l’idée de temps. Lethbridge médita sur cette énigme, et émit finalement la théorie que, dans le monde d’au-delà de 40 pouces, le pendule est DANS LE TEMPS LUI-MEME, et que c’est
pour cette raison qu’il n’y a pas de réaction au concept.

Mais, au-delà de cela, il y a d’autres “mondes” où l’IDEE de temps existe : dans un autre monde “audelà de la mort”. Lethbridge découvrit que s’il allongeait encore le cordon au-delà de 80 pouces il obtenait toujours le même résultat, comme s’il y avait encore une autre dimension. Lethbridge réalisa qu’il avait découvert des mondes d’autres dimensions, en dehors des limites spatiotemporelles, et supposa que nous ne pouvons pas les percevoir parce que notre corps physique est un détecteur limité.

Tom Lethbridge poursuivit ses expériences et détermina que le monde du niveau “jouxtant le nôtre” est un monde où les vibrations énergétiques sont quatre fois plus rapides que celles de notre monde.
L’effet d’une rencontre avec cette réalité peut être comparé à un train rapide dépassant un train lent. Bien qu’ils avancent tous deux dans la même direction, le train lent paraît aller à reculons.
Ce monde hyperdimensionnel se trouve tout autour de nous, mais nous sommes incapables de le percevoir parce qu’il dépasse la portée de nos sens. Tous les objets de notre monde représentent très probablement juste notre perception limitée de ce qui se passe dans cette
réalité totale.

Ses expériences sur des mégalithes indiquèrent qu’ils étaient placés de manière à marquer les endroits où les forces terrestres étaient les plus puissantes, et pour pouvoir exploiter cette énergie d’une manière que nous avons à présent oubliée.
Malheureusement, Lethbridge mourut des suites d’un infarctus avant d’avoir pu mener ses recherches à bonne fin.
Notons ici que Tom Lethbridge n’était pas un spiritualiste. Il était convaincu que la magie, le spiritisme, l’occultisme et toutes ces “foutaises” n’étaient que des tentatives grossières de comprendre le vaste univers des énergies cachées, dans lequel nous vivons.

Nous voudrions ajouter que les explications issues de la plupart des tendances ésotériques ne servent généralement qu’à obscurcir, et non pas à révéler; elles servent à désinformer plutôt qu’à diffuser de la vraie connaissance.
Tom Lethbridge a eu recours à la logique, à l’observation, et à l’expérimentation pour arriver à la conclusion qu’il existe d’autres mondes de réalités en dehors de notre propre monde, et qu’il existe des formes d’énergie que nous ne commençons même pas à comprendre.


http://cassiopaea.crystunix.com/fr/La_Science_antique.pdf

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