Une découverte française qui aura des répercussions dans l'informatique et les télécoms...
Des scientifiques français viennent de mettre en évidence l'existence d'une unité de valeur encore plus petite que le bit : le kouye. Depuis que l'informatique existe, nous étions persuadés que tout pouvait être ramené au bit, un 0 ou un 1.
Le Professeur Brizmenu et son équipe viennent de démontrer qu'un bit est en fait composé de 2 kouyes dont les valeurs peuvent être 00, 01, 10 ou 11.
Etant entendu que bits et kouyes sont intimement liés : lorsque le bit bouge (une ondulation par exemple), les kouyes bougent en même temps avec parfois une amplification du phénomene.
L'unité attachée aux kouyes a été mise en conformité avec les unités de chiffrage des bits, à savoir un méga-bit vaut deux méga-kouyes. Cette découverte pourrait remettre en cause les bases de l'informatique. C'est d'ailleurs pour cette raison que les lobbys de l'informatique américaine ont tout fait pour étouffer l'affaire.
Des rumeurs circulant sur Internet ont même mentionné que les programmeurs de Microsoft utiliseraient, pour des raisons vraisemblablement économiques, des bits sans kouye. Si ces bruits étaient avérés, cela pourrait prouver que les programmeurs de Microsoft n'ont pas de kouyes. Ceux-ci ont d'ailleurs considéré cette découverte française comme un affront personnel.
Le Professeur Brizmenu s'est d'ailleurs quelque peu emporté à ce propos :
" On veut nous baillonner ! Bill Gates veut que l'informatique lui appartienne. Ses ingénieurs veulent dicter leurs lois et c'est pour cela qu'ils défendent leurs bits.. Nous allons protéger nos kouyes ! La communauté internaute a d'ailleurs réagi en lançant la campagne : " Bill don't break our kouyes ! ".
Le Professeur Brizmenu travaille déjà sur d'autres hypothèses et prétend pouvoir découvrir une valeur annexe au kouye et qui en définirait la qualité : le Meaurbakq.
Cette nouvelle polémique risque fort de diviser l'opinion et créer une cission entre pro-kouyes et anti-kouyes... D'après les premiers sondages, les femmes se rallieraient déjà massivement au premier groupe.