Et vous qu'en pensez-vous ?

Un autre topic m'a donné l'idée de vous proposer un sujet qui semble d'actualité et récurrent, sur le Net, surtout dans certains sites orientés vers le Channeling.

Les avis sont partagés :

Certains pensent que l'homme tel que nous le connaissons, est issue de l'évolution, qu'il a commencé comme vague forme vivante et peu consciente, qu'il s'est construit lentement des "véhicules" spirituels, des chakra, etc. et qu'il s'achemine vers le Divin, tentant de devenir "l'égal des Anges" ou quelque chose d'approchant.

Cela, c'est le clan des "évolutifs", dirons-nous pour simplifier


D'autres pensent qu'au commencement, ce qui est actuellement "l'homme" était une sorte de dieu ou d'ange, qu'il créa lui-même la Terre (avec l'aide d'entités spécialisés) et qu'il accepta, en toute conscience, de "chuter" vibratoirement puis de se glisser dans des "peaux de bêtes" (corps de chair) ceci pour pouvoir vivre la séparation avec sa propre Essence afin de devoir la regagner et avoir ainsi le plaisir de "paser en revue" chaque étapes qui le séparent de "ce qu'il est en vérité" (je résume l'idée générale)

Cela, c'est le clan des "intemporels", allons nous dire pour simplifier

Alors, évolutif ou intemporel ?
Quel est votre avis sur ces deux façons de considérer nos origines et notre destination ?

Shanti !

Peut-être un peu des deux non ?

L'évolution sur un plan matériel suit son cours. Et cela se passe aussi sur un plan hors du temps et de l'espace.

Parfois, j'ai comme l'impression aussi d'une grande comédie ou l'histoire établie nous fait plus ou moins croire à un prolongement dans le temps, alors qu'il s'agirait d'un grand jeu cyclique qui se repéterait éternellement mais sur une longue échelle de temps d'un point de vue temporel-linéaire.

Vraiment, ça ressemble parfois à du "matrix", un grand jeu, parfois, comme une pièce de théatre dirigée par ceux qui tirent les ficelles dans l'ombre : "ombre" façon de parler, pas forcément dans le sens négatif, mais une sorte de "maîtres des jeux, du jeu" ; en tous cas, c'est le sentiment que ça donne...

Chamala a écrit:

Peut-être un peu des deux non ?

L'évolution sur un plan matériel suit son cours. Et cela se passe aussi sur un plan hors du temps et de l'espace.

Parfois, j'ai comme l'impression aussi d'une grande comédie ou l'histoire établie nous fait plus ou moins croire à un prolongement dans le temps, alors qu'il s'agirait d'un grand jeu cyclique qui se repéterait éternellement mais sur une longue échelle de temps d'un point de vue temporel-linéaire.

Vraiment, ça ressemble parfois à du "matrix", un grand jeu, parfois, comme une pièce de théatre dirigée par ceux qui tirent les ficelles dans l'ombre : "ombre" façon de parler, pas forcément dans le sens négatif, mais une sorte de "maîtres des jeux, du jeu" ; en tous cas, c'est le sentiment que ça donne...

Intéressante, cette version, je te remercie, Chamala

Il est vrai que ce film (Matrix) est très inspirant à plus d'un titre.
Il est d'ailleurs un des rares films grâce auquel plusieurs générations se "rencontrent" dans une manière commune de penser que "les choses ne sont pas toujours telles qu'elle paraissent être"
(ce que présentait déjà comme idée les Shiva Sutra, il y a six mille ans de cela, au Kashmir, en Inde)

L'idée d'une sorte de jeu avec des règles non connues de nous (enfin, les plus importantes, disons) a été évoqué par quelques penseurs illustres du passé.

Il me semble même que, plus près de nous, Satya Saï Baba y fait référence dans l'un de ces écrits...

Mais s'il s'agit d'un jeu, sommes-nous des anges qui jouent à être des hommes ou sommes nous... les pions sur l'échiquier d'une partie qui se joue "en haut-Lieu" ?

Marrant, ce genre d'interrogation, je trouve

Shanti !

A vrai dire je ne sais pas. Mais ça me donne le sentiment d'évoluer dans une matrice, un monde dans lequel nous fonctionnons en "énergie limitée" pour justement apprendre à gérer notre potentiel énergétique, psychique etc. Des être parfaits (en terme d'équilibre) pourrait-on dire mais qui sont complètement dispercés à tous les niveaux et puisent leur énergie à l'extérieur, chez les autres et évoluent dans un système qui vit lui aussi sur leur dos et leur énergie, comme pour les former à trouver leur propre énergie en revenant au dedans...

Un déséquilibre "voulu" (peut-être par une instance supérieure) pour justement apprendre à chacun à trouver son propre équilibre à son niveau, devenir indépendant, illimité etc., à tous les niveaux, donc ne plus dépendre (évolution verticale et non plus horizontale quoi).

C'est un peu l'histoire de la Libération, se détacher, dénouer les liens, les attachements, pour fonctionner en autonomie, à partir de la source ultime d'énergie et de vie, et non plus voler au voisin ce qui nous fait défaut.

Peut-être sommes-nous des anges (androgynes, ou christs, dans le sens de plénitude, de totalité) en apprentissages... Je ne dirais pas des dieux, car dans un certain sens, ça ramène à l'arrogance, à des êtres tous puissants, mais je dirais plutôt des êtres divins dans le sens d'un juste milieu, des être entiers et harmonieux à tous les niveaux.

Seulement, s'épanouir pleinement dans ce genre d'état parfait et divin est quasiment impossible dans cette matrice duelle d'apprentissage, car sinon, nous serions bouffés littéralement ; donc le jeu de la dualité ne peut pas être évité, même étant reconnecté(s) à notre nature divine et non-duelle. Il faut donc apprendre à composer, l'art de la guerre, à jouer le jeu quoi (le "je" duel disons)...

Ce n'est qu'une vision / interprétation des choses. Je ne suis pas arrêtée en particulier sur celle-ci, je pourrais même en imaginer ou préssentir d'autres...

Oui, et je crois que nous le pourrions tous

Tchin !

Bonjour,

Une autre façon "romanesque" de raconter l'histoire de l'humanité:
L'Empire des anges, Nous les Dieux, Le souffle des Dieux (Bernard Werber).

Ce ne sont que des romans bien sûr (quoique) mais ils ont le mérite de nous amener à se poser des questions notamment sur l'infiniment haut qui regarde l'infiniment petit que nous sommes et aussi à nous remettre à notre place... des fois que...

Bonne journée