Reportage de la journée de travail du 27/09/08 à la Roche-qui-Tourne à Velaine (Belgique)
Description, histoire et légende :
Le menhir de Velaine-sur-Sambre est une pierre brute, plantée en terre comme une grande borne et constituée par un bloc de grès extrait d'une sablonnière voisine.
Cette pierre, qui mesure 3,10 mètres de haut et qui a une circonférence, à un mètre du sol, d'environ 5,40 mètres, fut certainement dressée en cet endroit par nos lointains ancêtres du Néolithique.
La légende raconte que cette roche faisait un tour sur elle-même lorsque minuit sonnait à la ferme de Fayat, située au Nord sur le territoire de Saint-Martin.
Le site de Velaine-Sur-Sambre tel que nous le connaissons aujourd'hui n'est plus qu'un très faible reflet de ce qu'il était au départ, c'est-à-dire, un complexe beaucoup plus vaste.
Elle délimite une partie du « Bois Rougi », site classé au patrimoine par Arrêté Royal du 28/08/1960.
Ce menhir semblant isolé dans le bois est en fait dans un alignement de pierres qui balise une leyline (méridien d'énergie) et qui semble mener vers l'endoit où se trouvait auparavant le dolmen de Velaine, rayé de la carte en 1820, lui aussi débité en petits pavés de route.
Dans le même bois que la Roche-qui-Tourne, on trouve de nombreuses fosses d'extraction de mégalithes, des polissoirs du néolithique et une sorte de table de pierre.
La journée
Ce samedi 27 septembre 2008, nous nous étions donné rendez-vous pour une après-midi de travail autour de la Roche-Qui-Tourne à Velaine-sur-Sambre en province de Namur (Belgique).
Nous nous y sommes retrouvés à quatre garçons, quatre filles de régions différentes, mais liés par une même passion : la préservation des mégalithes, le paganisme, le nettoyage physique et spirituel des lieux sacrés de nos ancêtres et le développement personnel.
C'est par une belle après-midi ensoleillée que nous avons été accueillis sur le lieu. Afin de mieux faire connaissance, les participants avaient amené leur pique-nique, et des échanges, des partages de nourritures et boissons ont déjà eu lieu. Ce déjeuner sur l'herbe, au soleil, était des plus agréables.
Après avoir fait connaissance, Landvaettir, a expliqué le but de cette après-midi de travail autour de la Roche-Qui-Tourne.
Suivant la suggestion de plusieurs participants, nous avons choisi de nous excuser auprès du site et de ses habitants et gardiens pour la souffrance apportée aux ronces, orties et arbustes que nous allions couper.
Des outils de jardinage ont été mis à disposition et chacune, chacun s'est attelé à la tâche de nettoyage, désherbage, élagage autour du lieu.
Après le nettoyage physique du lieu, un relevé radiesthésique des centres d'énergie, leur localisation exacte et quantification de l'énergie est fait.
C'est alors que va commencer le travail énergétique commun. Le but est d'augmenter l'énergie en activant le lieu sacré. Tout d'abord, nous l'ouvrons en commun, ce qui va augmenter les champs magnétiques de la Roche-qui-Tourne. Ensuite, nous tentons une expérience qui aura pour résultat de presque tripler les valeurs radiesthésiques trouvées au départ.
Nous constaterons aussi que les trois enceintes celtiques délimitées au début se sont déplacées vers l'extérieur en s'agrandissant d'environ 300 %. Cette expérience avait déjà marché pour nous sur un dolmen du site mégalithique de Wéris. Le résultat obtenu à Velaine nous confirme la justesse d'une expérience qui devient reproductible et aisée à vérifier.
Au point de vue énergétique, chacune et chacun va profiter de l'énergie du lieu pour se remettre en forme. La Roche-qui-Tourne intervient surtout sur les 5e, 6e et 7e chakras. Le lieu a aussi une action thérapeutique sur le système nerveux, sur le foie, la rate, le pancréas et le système cardio-vasculaire. Temporairement, le taux vibratoire et le biochamp de chacun augmentent d'environ 300 %. Pour un menhir qui était "éteint", pas mal !
Après, nous faisons une petite pause, ce qui nous amènera des discussions enrichissantes et du bien-être.
Et maintenant, en route pour visiter le "Bois Rougi". Nous quittons la Roche-Qui-Tourne en suivant un alignement de pierres judicieusement placé sur une leyline envahie par la végétation.
Nous nous en écartons ensuite pour aller vers une sorte de table de pierre cassée en 2 immenses fragments. Elle a servi de polissoir au temps du néolithique principalement. On voit encore les entailles laissées par le travail.
Le polissoir ressemble à une roche erratique, mais le phénomène énergétique que nous y décelons, nous amène la certitude qu'il a été placé là par la main de l'homme. En effet, au milieu de la table émane du sous-sol une cheminée cosmo-tellurique à quatre pieds. Chacun va pouvoir en tester les effets sur lui, notamment au niveau du biochamp, qui sera aussi démontrée par les instruments radiesthésiques.
Plus loin, nous trouvons un rocher très curieux, creusé de cupules qui ont servi à préparer des infusions de plantes médicinales dès le néolithique. La forme nous fait penser à la poitrine d'une géante qui se serait endormie en ce lieu. Près de ce rocher, une autre pierre haute de quelques 60 cm environ sur laquelle nous découvrons le gardien des lieux. Pat. verra aussi à proximité une forme bleutée en lévitation (un autre esprit de la nature ?). Concernant le gardien des lieux, nous déterminons à l'aide de nos mains ses dimensions et sa forme : c'est un nuton (d'autres diront un lutin).
Une balade au travers des fougères nous fait découvrir aussi la beauté de la nature.
Nous terminons dans une allée de maronniers d'inde, où plusieurs arbres présentent de curieuses vrilles dans leur tronc.
Nous terminons par une grande embrassade suggérée par les filles : toutes et tous se tiennent et nous ne formons plus qu'une grappe unique d'êtres humains.
Ensuite, nous nous séparons afin que chacun se prépare au retour dans la réalité et vers sa maison. Il y aura encore un repas commun pour certains d'entre nous, mais l'heure devenait tardive.
A bientôt, pour une autre balade, probablement en terre luxembourgeoise.
Landvaettir
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