- walazato a écrit:
- bonsoir , avec cette image , tu me donnes des cauchemars , change une qui soit plus chatoyante .
[Mode Walazato: ON]
Bonsoir, j'aime pas ta sale gueule es-ce que tu pourrais parler plus propre. [Mode Walazato: OFF]
Salut Walazato, ça va, pas trop on dirais que t'as pas la patate...
Pour en revenir à nos oignons.
Tu peux emballer de la merde dans de la soie ça sentiras toujours la merde.
Tu peux mettre un paysan dans un château ça n'en ferras pas un prince.
Tu peux utilisé la diplomatie ou la langue de bois, tu n'arriveras pas à cacher tes sentiments.
Bref dans la vie y'a plein de chose que le capitalisme n'achète pas...
Je pourrais te faire la morale, mais chez moi ça n'as servit à rien.
Alors je vais te raconter mon histoire.
Quand j'étais petit et qu'on me traitais de fils de pute, je pétais la gueule de ceux qui pensait du mal de ma famille.
Bien sur, je ramassait des heures d'arrêts et on me disait j'étais de la mauvaise graine et que j'allais mal finir.
En plus en arrivant à la maison, mon père sortait le tape-tapis et j'en ramassait une bonne volée.
Donc tu comprends d'où venait mon problème...
Qu'on me disant que j'allais mal finir.Pour moi ça ne changeait rien.
C'est pas que je comprenais pas, c'est mon corps qui voulais rien entendre.
Je savais bien que me battre me coutais plus à moi, qu'à ma victime.
Mais rien y changeait. mon corps qui voulais rien entendre.
J'avais le voile de la colère qui m'aveuglait...
D'autre fois, on me disait qu'il était énervé, pas dans son assiette ou qu'il s'était mal exprimé et qu'il ne pensait pas ce qu'il disait
Pour moi, ça ne changeait rien. C'est pas que je comprenais pas, c'est mon corps qui voulais rien entendre.
Bref que je soit l'attaquant, ou la victimes ça changeait rien.
On était dans les années 80, les gens était baba-cool,
tout le monde se foutait de la morale et de l'autorité ce qui comptait c'était la non-violence.
On nous disait maintenant vous réglé vos problèmes comme des adultes et vous arrêter de vous battre.
Mais en faites personne ne nous monterais comment les adultes se réconciliait parce qu'il se battait jamais.
Ou alors, il était des ivrognes ou des drogués...
Bref l'argent et les assurances réglais bien des problèmes qui aux part avant était réglé par la violence.
Puis une fois, j'ai carrément fuguer pendants un camps, tous les moniteurs étaient furax est dépassé...
Alors il ont désigné la professeur la plus calme et la plus timide. Bref la rejeter de service comme moi...
Elle commença pas le discours habituelle et moi aussi "C'est eux qui on commencé, c'est des cons..."
Elle voyait que ça marchait pas...
Puis elle m'as pris dans ces bras pour me consoler moi le salaud, la mauvaise graine.
Celui que même ses parents n'osait plus prendre dans leur bras parce qu'il n'osait plus se regardez dans un glace.
Puis elle me dit si tu te bat pour ça alors tu vaux pas mieux qu'eux toi aussi t'est un con.
Là, pour la première fois ma colère c'est éteinte (le pouvoir de l'amour),
j'ai commencé à l'écouter et plus à répliquer à ces attaques verbales.
Elle me dit, ce qui te tue pas te rends plus fort.
Ça j'avais pas compris.
Elle me dit, c'est que des mots, les mots s'envole, il s'oublie.
Dans des années tu en rigoleras en te disant que c'était trop con.
Les mots c'est pas des vrais coups, c'est juste du vent.
C'est ceux qui n'arrive pas à se contrôler qui se battent avec les poings
ceux qui sont intelligent se battent avec des mots, ça fait moins mal
et ça rends plus fort, plus malin, plus intelligent et plus sage.
Ça sa parlait bien à mon corps, lui qui souffraient de se battre ce même si je gagnais tout le temps.
Mon corps comprenait pas pourquoi il était punis, alors il a aimé l'idée d'être plus encore plus fort.
Voilà comment j'ai évolué peux-être qu'en extrapolant tu trouveras de bonne idée ou des sujet de réflexion.
Après 30 ans de recule et d'expérience.
Elle avait raison, quand tu commences à formater les émotions des gens, par les poings physique ou les points orthographique
Tu crées du harcèlement, de la propagande et de la souffrance difficilement exprimable, explicable et condamnable.
Comme on formatait les peuples dans le passée.
Quand une photo n'est plus un objets, mais une chose qui à des pouvoirs sur les gens.
Alors, tu te retrouve en dictature comme dans le Film Equilibrium ou dans Vendetta.
Dans l'un on formate les émotions dans l'autre on formate les mots.
C'est ce qui arrive aujourd'hui à notre société comme avec la positive attitude, la rithaline, la discrimination positive, le décrutemement
les frappes chirurgicales, la guerre préventives, la tolérance Zéro, etc...
Derrière ces jolies mots se cachent une terrible vérité, bien plus plus dur que ma photo
qui n'est pas issue du mon réel, mais d'un monde imaginaire
C'est la "positive attitude" qui manipuler et endormis nos cerveaux.
Aujourd'hui, ils se réveillent car on ne peut manipuler les âmes et tu vois le cauchemar qu'il ont construit pendant ton sommeille.
Alors excuse-moi d'être pas d'accord avec toi, peux-être dans un monde ou tout serrais amours et les gens serrait prêt
à se sacrifier pour que l'on vivent en harmonie, je changerais volontiers mon image, après tous c'est une image
et il n'y a que les cons qui ne change jamais d'avis...
Mais si je le fait pour toi, ce que tu es incapable de faire alors je ne te rends pas service.
De nous deux je crois que c'est toi qui à besoin d'apprendre la tolérance bien plus que moi.
Tu vois si je suis une mauvaise graine, c'est parce que la vie veux que j'apprends la tolérance à d'autre
c'est pour ça qu'elle m'a fait cadeau de la force, que j'ai trouvé chez une personne que je pensait très faible.
Alors tu vois, les choses ne sont pas ce qu'elle sont.
les trésors sont toujours bien caché de celui que ne veux pas comprendre et pas de celui qui a tort ou raison,
Ça c'est une vue de l'esprit, dans les faits le grain de maïs à toujours tort face à la poule pas ce c'est son destin.
Comme j'avais toujours tort en tapant les gens...
Parce que le destin des humains c'est de vivre ensemble et pour ça faut beaucoup de tolérance et de force.
Que la force soit avec toi, jeune Padawan Walazato !