Brocéliande

Spéciale dédicace pour Gwelan....

En tout cas, moi, ça me rappelle de superbes souvenirs ! C'est bien le jardin des moines en n°17 ? J'ai vécu une drôle d'expérience là-bas un soir à 21 h : autre atmosphère et autres habitants ... Mon chien s'en souvient : lui qui n'est pas agressif s'est mis d'un coup en position, grogenements et grosse colère après une pierre ... Moi, grosse frayeur et puis une fois les présentations faîtes, le calme est revenu ...

Brocéliande, c'est une des pas nombreuses expérences de visions d'être du petit peuple ! Et ce chêne de Guillotin ...

Merci pour les photos !

Aaaaaaahhhhhhhhhhh ............. maison ...............

C'est un peu mon centre du monde cet endroit, ou un lieu de naissance (en deuxième vie).

On se tutoye vachement, quoi !

Et ce qui est génial c'est lorsque tu peux rendre visite à la forêt et ses sites sans être pollué par les hordes de touristes (dont je fais partie remarque mais bon... c'est pas pareil je trouve!!!)

Quel lieu magnifique, j'espère un jour y aller

merci pour ces photos mame dont certaines rappellent de beaux souvenirs, comme le Jardin aux Moines également avec le souvenir d'une ancienne vie... et le hêtre de Ponthus que je n'ai pas osé approché tant il m'a impressionnée...
gw, quelle chance tu as eu d'"avoir habité un tel endroit !!

je regrette de n'y etre passée qu'une journée, mais ce fut un souvenir "à vie", cette foret y est habitée et sublime.

c'est magnifique comme endroit !!! Moi j'aime beaucoup (entre autre) la photo n. 17 avec l'arbre).

oui c'est magique, merci!

Ah la photo n° 9 avec l'arbre! je meurs!

Sur la 11, c'est Excalibur, à gauche? le declic que j'ai eu en la regardant...
Ouch !!!!

L'arbre qui te plait, Fugen, s'appelle Ponthus. Voici sa légende :

"Le dernier cycle de la Table Ronde, le Roman de Ponthus, oeuvre du XIVème siècle, a pour théatre Brocéliande où se passe l’un de ses principaux épisodes.


Ponthus, fils du roi de Galice, en Espagne, fait naufrage avec quatorze de ses compagnons. sur la côte du Morbihan et est recueilli à Vannes par le roi de la Petite Bretagne. Il rencontre à sa cour plusieurs seigneurs, entre autres le sire de Gaël, seigneur de Brocéliande, avec lequel il se lie d’amitié. Le sire de Gaël a une fille, Sydoine, belle comme l’aurore, et Ponthus en devient éperdument amoureux.

La jouvencelle ne reste pas insensible aux sentiments qu’éprouve pour elle le chevalier espagnol ; elle y répond par un égal amour. Cependant, avant que la gente pucelle ne lui accorde sa main, Ponthus doit triompher d’un certain nombre d’épreuves ; adonc il s’éloigne en quête d’aventures chevaleresques qui le conduisent à Rennes, Saint-Malo, Monfort, au château de la Roche Perdue, jadis bâti sur un rocher par Merlin à la sortie du Val sans Retour. Revenant vainqueur à Vannes, il est fait connétable par le roi de la Petite Bretagne.

Hélas ! des perfides, jaloux de sa renommée, le desservent vilainement dans l’esprit de Sydoine qui lui signifie sa disgrâce. Il se retire en Brocéliande, au château de Ballanton ou Barenton, depuis le château de Ponthus, et fait assavoir qu’il combattra, chaque mardi, dans le champ clos des Tournois, près de la fontaine de Barenton, tout chevalier qui voudra jouter contre lui. Cinquante champions se présentent successivement, il triomphe de tous et les envoie prisonniers à sa chère Sidonie auprès de laquelle il rentre en grâce et qu’il épouse. Depuis ce jour Ponthus resta seigneur d’une partie de Brocéliande.

Au plus profond de la forêt de Brocéliande, le hêtre de Ponthus s'est élevé sur les vestiges d'un château détruit, jadis, par Dieu lui-même. En ces temps-là, le chevalier de Ponthus désespérait de ne point avoir de progéniture. "Il me faut un enfant, qu'il vienne du diable ou de Dieu !", s'écria-t-il du haut de la plus haute des tours de son château. Dieu fit la sourde oreille. Mais le diable était tout ouïe.

Malin prit le chevalier au mot : neuf mois plus tard, à la faveur d'une éclipse de lune, la châtelaine accouchait d'un petit monstre velu. A peine sorti du ventre de sa mère, le petit diable sauta sur le haut d'une énorme armoire puis se blottit sous un buffet. "Sinistre présage !" prophétisa la sage-femme avant de s'enfuir à toutes enjambées.

En ces temps là, il fit grand vent. La tempête venait de l'océan. Elle épargna la forêt, mais détruisit le château qui, emporté par une bourrasque, s'écroula sur ses occupants. Le souffle de l'apocalypse avait renversé les remparts pour laisser place à un magnifique hêtre qui domine toujours les hauteurs de Brocéliande."



Celui, il me semble, qui plait à GDQ s'appelle le chêne à Guillotin.

Ce chêne pédoncule, ou Quercus Robur, est inscrit à l'ONF. D'une hauteur d'environ 20 mètres et une circonférence de 9,65 mètres et âgé de plus de 1000 ans, il profite d'un ensemble aménagé par la commune de Concoret qui lui permet d'être mis en valeur et également protégé.

Désormais, on ne peut plus y entrer. Le chêne a souffert de la tempête de 1999 et il a fallu le renforcer et bloquer l'accès de l'arbre. Cependant, une plateforme a été aménagée pour que l'on continue à l'approcher et à l'observer.
L'écorce de l'arbre est très dure, ses branches sont de la taille des arbres que l'on voit plus habituellement.
Ici, le trou dans lequel l'abbé Guillotin s'est réfugié. Il me semble bien qu'en guise d'abbé, nous nous trouvons en face d'un beau gardien.

La légende raconte que l'abbé de la paroisse Pierre-Paul Guillotin, né au Vaubossard en 1750 et décédé en 1814, se réfugia à l'intérieur du tronc de ce chêne pendant la révolution en 1791, afin d'échapper à ses poursuivants. Des araignées géantes se mirent alors à tisser une grande toile ; ce qui le dissimula aux yeux de ces derniers.
Une autre légende dit que Notre-Dame de Paimpont serait descendue sur Terre et se serait transformée en araignée et aurait tissé une toile pour boucher le trou du tronc.
En fait, l'abbé Guillotin était vicaire à Baulon puis à Saint-Servan en 1790. Refusant de signer la constitution civile, il revint au pays natal pour exercer secrètement son ministère. Le 6 octobre 1793, deux cents gardes nationaux de Paimpont viennent la nuit avec des gendarmes de Plélan pour appréhender le réfractaire. Mais après avoir fouillé tout la village et les fourrés alentours, tout ce beau monde rentra bredouille. L'Abbé s'était caché dans la lande. Il rédigea un précieux journal des événements révolutionnaires.

On dit aussi que non loin de ce chêne serait enterré le trésor d'Eon de l'Etoile, un moine réfractaire du milieu du XIIème siècle, sorte de Robin des Bois local, mystique et visionnaire.



Et la fontaine d'Hélène, c'est Sainte-Apolline :



"Jour de Sainte-Apolline renfrogné, c'est trois beaux mois d'été qu'elle nous a gardés."

Une belle petite fontaine où les gens du coin viennent remplir des bouteilles pour leur consommation personnelle.Toujours faire confiance au bon sens des autochtones...



Vous pouvez retrouver tout ça ici :

http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/broceliande__35_ille_et_vilaine_/index.html

Faut vraiment que j'aille là bas goûter voir si le vin est bon ..!
Et moi c'est Guillotin mon préféré, parce qu'il le vaut bien .

genfil

Merci Mame, ta prise de vue avec le reflet du soleil comme la lame de l'épée donne un relief particulier à la petite fontaine ste Apolline..Sur le moment, je n'ai vu que lui..et "les arbres qui s'écartent pour laisser passer l'eau miraculeuse..."

Citation :

et "les arbres qui s'écartent pour laisser passer l'eau miraculeuse..."

... et pour faire une haie d'honneur à la vouivre qui émerge ici aussi ..."

genfil

C'est toi qui a pris ces photos Dame Dulac? Mazette!!!!
Si j'ai besoin d'une raison pour venir sur ce forum elle est dans ce post et ces photos!!! Indigne Bretonne que je suis croyant que Brocéliande n'était plus une vraie forêt...
Pour vous dire, mon manque d'arbres était tel , vivant à Paris, j'ai décidé de considérer que cette ville est une forêt d'humains, et d'assimiler ces humains à des arbres, c'est le moyen que j'ai trouvé pour tenir...
Mais voyant ces vrais arbres..rhâaaa!!!!

Bonjour,

Sur toute la page, vous avez ce que l'on appelle le circuit touristique (ancien pour certains lieux, Hêtre de Ponthius), seulement il reste des endroits dont on ne parle pas, et même beaucoup de personnes ignorent l'existence, si un jour vous voulez les visiter, on pourra organiser une petite journée, vous laissant regarder à nouveau ces photos où il y a pas mal de très très bonnes énergies...au plaisir de vous lire...

Soleiman

Arwen a écrit:

En tout cas, moi, ça me rappelle de superbes souvenirs ! C'est bien le jardin des moines en n°17 ? J'ai vécu une drôle d'expérience là-bas un soir à 21 h : autre atmosphère et autres habitants ... Mon chien s'en souvient : lui qui n'est pas agressif s'est mis d'un coup en position, grogenements et grosse colère après une pierre ... Moi, grosse frayeur et puis une fois les présentations faîtes, le calme est revenu ...

Brocéliande, c'est une des pas nombreuses expérences de visions d'être du petit peuple ! Et ce chêne de Guillotin ...

Merci pour les photos !

Hélène a écrit:

Sur la 11, c'est Excalibur, à gauche? le declic que j'ai eu en la regardant...
Ouch !!!!

Lol : Excalibur !!! ??? c'est ce que j'ai pensé aussi !!!

Il y a très longtemps, j'ai adoré même si je n'y étais pas avec les bonnes personnes...........
Merci de partager ces très jolies photos...

Val

Extra ce "reportage"

Moi qui ai habité qq années en bretagne, je n'avais fait qu'une seule escapade dans cette forêt...

et encore, je savais pas ouvrir les yeux à ce moment là....

J'y suis passé il y a quelques années et je pense y retourner , merci pour les photos .

Je suis désolé par avance car je ne veux pas briser les rêves!

Brocéliande ne s'est jamais située en Paimpont (bien que possiblement limitrophe) à proprement dit.
L'actuel val sans retour a été complètement aménagé et crée pour, et plus tard l'abbé Gillard a finit l'ouvrage (durant sa "pénitence"). En suivant l'étoile polaire, peut être bien...

Il n'en reste pas moins un coin où se dissimulent des merveilles.

Mon ressenti:
Tout n'y est pas rose, loin de là! Dans certains endroits je ressens un malaise profond (en forêt comme près de habitations), des coins sans vie (sans oiseaux....). D'autres chargés négativement (surtout les pierres), merci les gens!!!
Beaucoup de retranchements et jalousies imprégnées dans le temps sur les gens et l'atmosphère!

Par contre, une fois enfermé dans la bulle de la fontaine "barenthon" quel merveilleux endroit!

Ker neant: voilà la clé qui regroupe le tout! Quasi-tout ce que vous pourriez voir ailleurs est en ce lieu.

L' énergie du hêtre de Ponthus!!! Quelle force! Mais mon dieu quelle souffrance, seul, devant ce chaos qui l'entoure. Il se tient noblement, pas comme un sage mais comme un chevalier.

Quelques endroits en forêt qui regorgent de hêtres qui finiront aussi majestueux que le "voyageur" (notamment au bord d'un virage en milieu de forêt).
Le vieux Guillotin, le bourg de Paimpont....

Voilà pour le parcours officiel.

Spécificité: forêt vallonnée où les hêtres s'y démarquent "d'ailleurs" et où le cerf y règne vraiment en protecteur et sans compromis (bien vu l'abbé!).

Oui le Val sans retour me fait penser à une certaine promenade des Anglais dans le sud de la france...

Par contre, tout le coin de la Fontaine au Hêtre, ont s'en prend plein les mirettes.
Avec ma Dame, ont a dû y aller une 10e de fois avant d'avoir le plaisir de voir le Hêtre.
Quelle majesté, quelle présence... ceux qui ont un peu de pratique énergétique, qui ont l'habitude de ressentir les énergies avec les mains par exemple, le ressente sur tout le corps en sa présence !
Ont la ressentait a à peu près 15 mètres de lui, très fortement, mais il irradie surement plus loin...

Je me souviens d'une fois où nous "méditions" devant lui, ont entend des gens arriver, tel un troupeau de vaches, mais sans berger, pourtant ils avaient des chiens, tout ce ptit monde excités tels des gamins dans une aire de jeux type center parc...
une fois arrivés devant lui, une femme s'écria "ohhhhhh regardez cet arbre là, ont dirai qu'il est vivant !" (ouf au moins celui là a bien de la chance...)
et sont respectueusement restés silencieux, assis une bonne 1/2 heure sans mot dire devant lui, calmés.

venete a écrit:

Je suis
désolé par avance car je ne veux pas briser les rêves !

Il n'y a, en l’occurrence, rien à briser car je tiens que Brocéliande n'est pas tout à fait un lieu comme les autres, et qu'il y existe un lieu pour chacun, selon ses dispositions, selon ce sur quoi se pose son regard, selon là où l'on en est de son propre cheminement.

L'endroit se dérobe ou se livre selon des mystères qui appartiennent à chacun.

Historiquement, effectivement, l'endroit est extrêmement marqué par l'exploitation de mines à
ciel ouvert, d'où l'on extrayait les meilleurs minerais du monde ; ce qui y a fait venir les plus grands spécialistes en métallurgie , alchimie des métaux, et ce de l'Europe entière.

Brocéliande a fourni ainsi la plupart des « lames » mythiques ; Escalibor, Joyeuse, Durandale, etc … On retient les lames de Tolède, mais c'est oublier qu'à Tolède, on ne faisait que damasquiner les lames forgées à Brocéliande. Et d'ailleurs le Sieur de Ponthus était l'un de ces marchands qui faisaient le voyage de Tolède en Brocéliande, et qui, y ayant rencontré son amour, sa Viviane, a préféré y demeurer plutôt que de s'en retourner en Espagne.

Le coeur de Brocéliande, c'est donc avant tout ses forges, celle du Gué de Plélan, du pas du houx, etc
… mais ce sont aussi des pratiques « magiques » qu'aujourd'hui, on aurait tendance à considérer sombres où il convenait de tremper la lame dans du sang tiède afin de lui conférer sa dureté (avec tout ce qu'implique le fait de se fournir en sang tiède, sachant bien entendu que celui de jeunes enfants ou de jeunes vierges était forcément préférable à celui de vieux malades ou d'animaux).


Mais c'était aussi un terrain d'entrainement pour tous ces gens d'armes qui prétendaient pouvoir
manier ces lames exceptionnelles. Or, on ne manie pas une lame capable de fendre un rocher comme n'importe quel couteau de cuisine, et il fallait également suivre une initiation qui n'était pas que
physique. C'est ce qui confère à ce lieu ce mélange si particulier d'ombres et de lumière, qui a également façonné les valeurs de la Chevalerie ancienne.


Aujourd'hui encore, la magie du lieu, si tant est qu'on y soit sensible, côtoie un camp militaire et
l'école St Cyr (délocalisée) qui prépare nos « élites combattantes » (!).


Pour ce qui est de la magie du lieu, elle est peut-être liée à la richesse exceptionnelle de ses
sous-sols, ou elle tient cela peut-être d'autres choses, toujours est-il que cette terre virile et industrieuse n'en est pas moins également fondamentalement habitée de cette énergie que d'aucuns
appellent « mariale » et qui nous ouvre la porte d'autres mondes et plus si affinités. Mais, ne nous y trompons pas, et cela a bien été indiqué sur le seuil de l'église de Tréhorenteuc : « LA PORTE EST EN DEDANS ».


C'est bien à une retraite que le lieu nous invite, car les chemins balisés par l'office du tourisme, et le
grand bazar mystico-machin qui voit des Merlins et des Morganes partout, ne doivent pas nous abuser ni nous détourner des véritables raisons qui font que l'esprit de ceux-là y soit si présent.

gw a écrit:

C'est bien à une retraite que le lieu nous invite, car les chemins balisés par l'office du tourisme, et le
grand bazar mystico-machin qui voit des Merlins et des Morganes partout, ne doivent pas nous abuser ni nous détourner des véritables raisons qui font que l'esprit de ceux-là y soit si présent.

Merci, je pense un peu pareil!

C'est d'ailleurs assez fabuleux les différences d' atmosphère et de ressenti d'une forêt à l'autre! La terre qui parle.
J'adore les arbres (j'ose même pas les toucher, c'est plutôt rare), j'essaye de rester humble dans la plupart des lieux car je n'y suis pas à ma place, ni même chez moi.

Seulement dans 1 endroit sur 2 ou sur 3, une porte pourrait être à peine entre-ouverte.
Mais entre la paisibilité du jour et la tombée de la nuit, il y a un monde qui change et on comprend vite que notre place n'est plus là (déjà commencer par sentir ce changement).
Nous dérangeons clairement la nuit et c'est bien normal! Si un lieu nous ouvre ses portes c'est parce que nous sommes fondu dans son Grand tout, mais il nous a beaucoup observé avant et nous connait mieux que nous ne le connaissons.
Je me souviens encore d'être figé dans des chemins avant d'entrer dans une forêt et rebrousser, de nuit! Jusqu'au jour où un lieu a fini par accepter de me laisser passer (j'y contemplais pourtant les biches tous les soirs avant).

J'aime découvrir des forêts, mais quand je rentre chez moi c'est cette douceur que j'attends vraiment de retrouver.

Probablement une des raisons pour laquelle les peuples du cercle (la plupart des celtes, indiens....) et leurs sages surtout n'étaient pas colonisateurs (ils n'étaient plus chez eux et leur croyance n'avaient plus lieues d'être).


Je préfère rester tout petit, ne rien demander et en marchant sur la pointe des pieds , plutôt que certains qui se croient chez eux partout dès lors qu'ils "aiment" la nature! Elle sait reconnaitre de toute façon.

venete a écrit:

Probablement une des raisons pour laquelle les peuples du cercle (la plupart des celtes, indiens....) et leurs sages surtout n'étaient pas colonisateurs (ils n'étaient plus chez eux et leur croyance n'avaient plus lieues d'être).

Point de vue très intéressant; merci pour le partage.
Rup