Osiris et Enki

Osiris-Enki incarnait le bienfaiteur de l’espèce humaine. L’épisode de sa mort et la révélation tardive de sa disparition aura marqué à jamais l’inconscient collectif…..
…L’assassinat d’Osiris-Enki a sonné le glas d’une époque salutaire et d’un rêve perpétuel : celui de la libération de l’humanité…

….Dans ces conditions, le meurtre d’Osiris était bien un acte prémédité.
La religion judéo-chrétienne a transformé cet assassinat en sacrifice rédempteur à travers le sacrifice du bouc émissaire et celui du Christ.
Comme nous l’avons démontré, le Christ Jésus, personnage ô combien emblématique, peut-être même historique, mélange les caractères d’Osiris et d’Horus……

…..Un meurtre et une renaissance qui ont malgré tout servi l’histoire grâce à la mystification ourdie au fil des millénaires par scribes et chroniqueurs.
Nous l’avons démontré, comme personne ne l’avait fait auparavant : nous sommes les témoins d’un véritable enterrement de l’épopée osirienne, dont le seul but est de promouvoir une nouvelle version totalement réécrite, de l’histoire de l’humanité.

Une lecture attentive nous fait constater qu’il existe dans la Bible des récits parallèles qui ont puisé leur inspiration dans divers épisodes qui appartiennent à l’histoire d’Isis et d’Osiris.

Plus encore, ce ne sont pas seulement certaines situations qui sont calquées et même reproduites plusieurs fois dans les Saintes Ecritures, mais également des noms d’origine égyptienne et sumérienne.
Ceci démontre sans l’ombre d’un doute que plusieurs scribes orientaux se sont inspirés des passages des mythologies égyptiennes et mésopotamiennes, ou les ont sciemment « copiés-collés ».

Ainsi se formèrent les grandes bases de l’histoire biblique, celles qui allaient fournir de nouveaux épisodes aux vies des grands patriarches, comme à celle de Jésus Christ…

..Cette démonstration n’a pas pour but objectif de prouver que Jésus le Christ n’aurait pas existé, même si la possibilité de sa matérialité est, et cela bien malgré moi, entachée par nos découvertes….

Extrait de: "Le Testament de la Vierge" - Anton Parks

Oui, la bonne question ça pourrait être : "Mais que fait la police !?!?!?"

Depuis le temps !

Allez, admettons pour faire simple, que l'assassinat d'Osiris remonte à 10000 ans. C'était un dieu solitaire Enki ? L'avait pas de copains Enki ? C'était un Kennedy qui faisait chier tout le monde là-haut ?

Imaginez une seconde que la merveilleuse confédération galactique ne soit qu'un ramassis de fascho, qu'en ont pas plus à faire de nous que les gars de Wall Street ? !!!!!

's'rait mal barrés, hein ?

Ce n'est pas la première fois que j'entends parler de cette translation des cultes

Entre la perse et l'egypte, cela commence à se faire jour car même les archéologues développent des scénarii sur la question.

Dans notre région (du sud) on a toutes le culte des matrones et d'artemis qui a été supplanté par celui des suivants et suivantes de Jésus, échoués aux Saintes Marie de la Mer.

Mais j'aimerai alller un peu plus loin, alors si quelqu'un (par hasard, oh que j'aime ce mot) saurait s'il y a (comment dire?) une généalogie cohérente à tous ces cultes, ça m'intéresse.

@ plus

claus

Et bien Claus, là effectivement, il faut lire Anton Parks parce que c'est tout l'intérêt de son travail que de mettre en évidence ces filiations sur un plan strictement textuel.

Lorsque Enki se retira de Sumer pour aller vivre et initier une civilisation en Egypte, on le retrouve sous le nom d'Osiris (d'aprés Anton Park), mais, il semblerait que partout dans le monde on peut retrouver des traces d'Enki, tantôt sous un nom, tantôt sous un autre, parmi les Dieux bienfaiteurs de l'humanité qui ont laissés des traces vivaces dans la mémoire de l'humanité.

Parmi les grands initiateurs de l'humanité, ayant peut être été Enki, sous une autre appellation, je crois qu'on peut trouver aussi Quetzalcoatl "Le serpent à plumes"

....Ainsi, Viracocha, dans les Andes, décrit comme un dieu pale, qui arriva à Tiahuanaco en des temps obscurs, apportant aux hommes la lumière et la civilisation...

Viracocha au cours de ses voyages à travers les Andes apparut au monde à travers différentes identités, Quetzalcoatl fit de même. On peut le retrouver sous les noms de Gucumatz, ou Kukulkan.

Ces deux mots ont la même signification "Serpent à plumes"

Selon la légende

" Le grand dieu Kukulkan, le Serpent à plumes" était l'équivalent du dieu Maya du Quetzalcoatl aztèque, le dieu mexicain de la Lumière et de la Connaissance.

Dans le panthéon maya, il était considéré comme le grand organisateur, le fondateur des cités, le créateur des lois et du calendrier.
De fait, ses attributs, et l'histoire de sa vie, sont si humains qu'il n'est pas improbable qu'il se soit agi d'un personnage historiqeue ayant véritablement existé, une sorte de grand législateur et organisateur dont on se rappela les bienfaits longtemps aprés sa mort, et dont la personnalité bienfaisante fut finalement divinisé.

Toutes les légendes affirment sans ambiguïté que Quetzalcoatl/Kukulkan/Gucumatz/Votan, arriva en Amérique centrale d'un pays trés lointain au dela de la "mer orientale".....

Les indigènes affirmaient que dans les temps anciens, vingt hommes étaient venus au Mexique.
Leur chef s'appelait Kukulkan, ils portaient de longues robes flottantes et des sandales aux pieds, et arboraient de longues barbes.... Kululkan enseigna au peuple les arts de la paix, et fit édifier de nombreux édifices.

Tel un jumeau de Viracocha, la divinité blanche et barbue des Andes, Quetzalcoatl aurait lui aussi apporté au Mexique tous les arts et toutes les sciences nécessaires à une vie civilisée. On lui devrait ainsi l'introduction de l'écriture et l'invention du calendrier, et maître batisseur (sic), il aurait enseigné au peuple les secrets de la maçonnerie et de l'architecture. Il était le père des mathématiques, de la métallurgie et de l'astronomie, et aurait "mesuré la terre".
Il aurait également jeté les bases d'une agriculture productive, et découvert le maïs.
Grand médecin, connaissant tous les remèdes de la terre, il était le patron des guérisseurs et des devins, et révéla au peuple les mystères des propriétés des plantes.
Enfin il était vénéré comme législateur, protecteur des artisans, et patron de tous les arts."

Source : L'Empreinte des Dieux, de Graham Hancock...


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Aprés la destruction de la terre par le déluge, Enki et les siens se seraient donnés comme mission d'aider les hommes à se reconstruire.
Il aurait ainsi parcouru le monde pour aider l'humanité à recommencer à évoluer aprés le grand désastre.
Il leur aurait transmis la connaissance partout où il s'installait pour un temps, avant de repartir civiliser d'autres peuples.

Jusqu'à ce que Enlil finisse par l'assassiner.....


Le Maitre Jésus aurait enseigné "la Gnose" ainsi que sa "compagne" Marie-Madeleine....
Marie Madeleine est l'Apôtre des Apôtres, elle incarnait sans doute "Sophia".

Par la suite, on sait ce qu'il est advenu des enseignements du Christ.
Ils ont probablement été déformés et détournés ....

Mais depuis la découverte des documents de Nag Hammadi (manuscrits) l'enseignement originel refait surface.....

CLAUS a écrit:

si quelqu'un (par hasard, oh que j'aime ce mot) saurait s'il y a (comment dire?) une généalogie cohérente à tous ces cultes, ça m'intéresse.

Il suffit de faire une étude comparative des religions au niveau de l'ésotérisme, et on en arrive à la conclusion suivante : les religions sont faites au départ pour aider l'humain à se relier à Dieu (là, on met ce qu'on veut sous ce vocable). Ne pas oublier qu'une religion fut créée à une date précise, en un lieu précis et pour un peuple précis.

C'est là où Anton Parks nous propose le départ de toute religion dans son récit. On adhère ou pas.

Pour ma part, j'adhère. Je ne suis pas d'accord sur tout, et il me semble qu'il s'emmêle un peu les pinceaux sur la question des dates. Mais enfin, la trame me parait cohérente. Bien sûr, c'est romancé. Mais à lire entre les lignes, c'est la première fois que j'ai eu les poils tout droits, signe que ça me parle au plus profond.

Je ne peux que vous renvoyer à son premier tome.

http://www.anunna.net/antonparks/main.php?page=secret_etoile

Comme le disait gw, Parks met des mots sur les mesures que nous avions trouvé au niveau de nos ascendances.

Bon, alors yapluka!
Je n'ai que 4 ou 5 livres de retard. Ah non, on m'a aussi connseillé "les mémoires de Zeus", la semaine diernière .... D'ici la fin de l'année, j'aurai rattrapé mon retard

Boarf, les mémoires de Zeus, ça se lit en 3h. Anton, faut plus....

Derrière le Christianisme et d’autres religions, semble se profiler un mythe originel.

Si le personnage de Jésus Christ n’a pas existé tel que décrit dans la Bible, il est sans doute la transposition d’un mythe beaucoup plus ancien, et que les traditions se sont transmises oralement durant des millénaires.

L’inconvénient de ce mode de transmission est qu’il finit par être déformé, modifié et même détourné au fil du temps.

Les Evangiles Canoniques sont sans doute le résultat de ce détournement et d’une manipulation destinée à asseoir le pouvoir d’une élite religieuse et d’un dogme infaillible.

Le Christianisme lui-même semble prendre ses racines dans le mythe égyptien, lui-même dans les mythes sumériens et eux-mêmes dans un schéma où les humains et les Dieux se mêlent dans un imbroglio fait de luttes et de d’alliances temporaires.

Tout ceci fut verrouillé par le dogme religieux durant deux millénaires, mais l’histoire, l’archéologie et la génétique semblent à présent révéler un passé de l’humanité plus complexe et plus « exogène », c'est-à-dire pas seulement lié à notre seule planète.

Le grand défi de notre époque est de redéfinir nos origines réelles, de révéler ce qui a été notoirement dissimulé, de redécouvrir une dimension de nous-mêmes qui nous place au panthéon des divinités que nous avons priées et adorées, et de dégager la chape de plomb qui nous recouvre depuis ces temps très reculés.

Citation :

vingt hommes étaient venus au Mexique.
Leur chef s'appelait Kukulkan, ils portaient de longues robes flottantes et des sandales aux pieds, et arboraient de longues barbes....

relire les textes sur les navigations de Brandan (Brandan le grand navigateur celte du 6ème siècle de Louis Kervran)

les Celtes découvrirent l'Amérique bien avant les Wikings

une anecdote intéressante

Citation :

pour s'orienter à proximité des côtes, par temps de brouillar, ou s'ils étaient trop incertains de leur position en pleine mer, les Celtes utilisaient des corbeaux, qui faisaient partie de l'équipement habituel des navires. Pour cet usage on capturait des corbeaux sédentaires, qu'on élevait en cage. Les corbeaux dits sédentaires se déplacent en fait de 200 à 300km, et ils offrent la particularité de posséder un sens remarquable de la direction de la terre la plus proche.Perdu en mer il suffisait de lacher un corbeau et d'observer la direction qu'il prenait pour savoir où se diriger; cela valait également par beau temps, si aucun indice ne permettait de déceler une terre

cela ne vous rappelle pas un certain Noé et une arche bien connue ?

Si on n'oublie pas que les celtes dont il est question ici sont des armoricains qui descendaient tout autant des envahisseurs indo-européens que des descendants de la civilisation mégalithique (je n'ose pas dire Atlantes) cela ouvre des perspectives intéressantes.

Amitiés Eric

Voilà une des planches de ses livres où il retrace la généalogie des dieux, avec leurs noms sumériens, égyptiens et bibliques.

http://www.zeitlin.net/EndEnchantment/images/Gen23Fr.jpg

C'est un peu touffu, il faut lire les livres pour comprendre ce résumé, qui mériterait d'être en 3 dimensions.

L'intéret d'Anton, c'est qu'il se base sur des écrits et des légendes connues quasiment universellement et qu'il recoupe et rassemble toutes ces bribes en un tout cohérent.

Le testament de la Vierge est plus une thèse qu'un roman, un peu difficile à lire mais passionnant.

Le site de Zeitlin reprend les thèmes d'Anton...
en anglais mais avec pas mal d'éléments en français :
http://www.zeitlin.net/EndEnchantment/Secrets.html

http://www.anunna.net/antonparks/main.php

Pas trouvé de trace du livre "Eden" sur le site, ceci ajoute une pierre à l'édifice.

On a beau y croire ou non, les tablettes sumériennes ne sont pas une fiction. Si on accepte l'idée que les traductions sont fidèles on a le droit de revoir l'histoire et les religions. Même si les uns viennent à la suite de l'autre.

L'autre jour en allant au musée d'art et d'histoire à Bruxelles il y avait de ces tablettes, le ressenti était très impressionnant - j'y suis resté longtemps à ne pas vraiment croire ce qui se passait.

Chaudes recommandations de lire Eden donc, d'Anton Parks fallait il le préciser.