loustik Pendule de cristal
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| Sujet: Géobiologie & feng shui: un paysage sous (bonnes) influences 2014-01-26, 18:09 | |
| Biocontact, mensuel gratuit distribué dans magasins bio de France, propose dans son n°243 de février 2014 un dossier sur le « Paysage ».
Parmi les sujets, un article intitulé « la Géobiologie et feng shui : un paysage sous (bonnes) influences », de Christine Fageot
Extrait de l’Edito de Jean-Pierre Camo à propos du dossier : « Les Romains croyaient que chaque lieu était « incarné » par un genius loci (génie – ou esprit – du lieu), qu’ils vénéraient et craignaient. Ce pouvait être un simple rocher ou une région entière. Le blason de l’Islande, placé au centre du drapeau, est encadré par les quatre figures protectrices du pays (landvaettir), le taureau, l’aigle, le dragon et le géant rocheux, chacune en charge d’une région. Chaque lieu possédait donc un caractère, une âme. Aujourd’hui encore, le feng shui, discipline millénaire chinoise, propose de réharmoniser notre habitat mais aussi de mieux l’intégrer dans le paysage environnant. En Occident, les géobiologues revisitent ces concepts. En d’autres termes, qui ne s’est pas senti « en phase » avec certains lieux et mal à l’aise dans d’autres ? Ne doit-on pas chercher à comprendre ce qui rend un paysage « aimable » ou « néfaste » pour mieux le préserver ou mieux l’aménager, bref, pour mieux le vivre ? D’où le fameux « agir local ». »
Géobiologie et feng shui : un paysage sous (bonnes) influences L’environnement a un impact important sur nos humeurs, notre moral, notre santé et donc notre bonheur. S’établir dans un paysage harmonieux est le gage d’une meilleure qualité de vie. C’est ce que proposent deux disciplines ancestrales issues de l’observation de l’univers : le feng shui et la géobiologie. Extraits : De tout temps, dans l’univers, l’homme a recherché un endroit sain et sécurisant pour construire son habitat. (…) par le passé, les menhirs étaient placés à des endroits stratégiques pour maîtriser les énergies de zones pathogènes. Les anciens faisaient paître leur bétail en un lieu et attendaient de longs mois pour voir si les animaux conservaient une bonne santé, ce qui était gage de bon augure avant de décider de s’y installer. Les anciens connaissaient les secrets des terrains et donnaient des noms spécifiques pour des endroits malsains (Malpas, la Vouivre (« la vipère »), Pain-perdu) ou au contraire bénéfique (Bellevue, Beauséjour)... Également, plus récemment, les grands bâtisseurs de cathédrales choisissaient des lieux hautement énergétiques, souvent en résonnance avec d’autres. (…) On évitera également de s’installer sur des lieux de drame (…) car les mauvaises énergies ont tendance à stagner et les histoires peuvent se répéter. Un exemple comme le site d’AZF, tristement connu à Toulouse pour avoir subi une explosion, était autrefois un champ de bataille, devenu aujourd’hui un centre d’oncologie. (…) | |
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